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Date de création : 28.12.2010
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Les Démons majeurs, sont les réglementations effrénés, frénétiques, d’un pouvoir obsédé par ces nouvelles lois absente de cohérence et de bien fondé.  Les bien-pensants font la chasse aux Mal-Pensant, hommes assoiffés de la Liberté de vivre, le Vivre tout court. Vivre libre, c’est-à -dire libre avec son libre-arbitre, le discernement du bien sur le mal. La liberté de pensée sans nuire à autrui. Cela me fait penser au livre de l’Exode de Moïse, homme de Dieu :

 

Tu adoreras ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, de tout ton esprit. Tu aimeras ton prochain comme toi-même, voilà toute la loi, la vraie loi

 

La Loi des hommes a usurpé la Loi de Dieu. Nous avons perdu nos racines non seulement chrétiennes, mais la mémoire de nos Père, Abraham, Isaac et Jacob Israël. Que je ne t’oublie pas Jérusalem.

Les technocrates comme les grands techniciens, comme le corpus des ingénieurs ont tout usurpé. Monge, franc-maçon notoire créa sous l’impulsion de Napoléon, X ou polytechnique, école à formatage et nivellement horizontale, flairant la poussière et la cendre de la vie décomposée sous les révolutionnaires, viciés et sanguinaires.   

 

Je conseille de lire un livre remarquable, « Les Névrosés de la Révolution » d’Augustin Cabanès et Lucien Naas, 1908. Jean Paul Marat [Suisse-Italien] brossé par Cabanès est le laqué de Danton, sale, laid par sa haine, le bon Ami du Peuple. Il était lâche, veule incendiaire, sanglant contre le Peuple de France. Danton quant à lui, était un boucher, mais charismatique, puissant en parole, déterminé, le Tribun de la Révolution. Il fut terrible comme personne. Marat était un rat d’égout qui vécut sous terre, dans des caves, des logements prêtés par des amis comme Camille Desmoulins et autres. Ces autres tomes sur Souvenirs de la TERREUR, [1841], de Georges Duval, fut un des témoins oculaires de la fameuse Terreur Parisienne. Il avait 17 ans en 1789.

 

… Une civilisation ne s’écroule pas comme un édifice ; on dirait beaucoup plus exactement qu’elle se vide peu à peu de sa substance, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus que l’écorce. On pourrait dire plus exactement encore qu’une civilisation disparaît avec l’espèce d’homme, le type d’humanité, sorti d’elle. L’homme de notre civilisation, de la civilisation française — qui fut l’expression la plus vive et la plus nuancée, la plus hellénique, de la civilisation européenne, a disparu pratiquement de la scène de l’Histoire le jour où fut décrétée la conscription. Du moins n’a-t-il plus fait depuis que se survivre…

 

… L’institution du service militaire obligatoire, idée totalitaire s’il n’en fut jamais, au point qu’on en pourrait déduire le système tout entier comme des axiomes d’Euclide la géométrie, a marqué un recul immense de la civilisation. [1]

 

Qu’est-ce que la république sinon la chose publique. Elle concerne tout le Peuple, et non un groupe minoritaire corrompus comme les Députés de l’assemblée National qui prit racine sur le tiers état du Royaume de France. A. Cloots était député en l’époque de 1792, Prussien d’origine Hollandaise. Il fut philosophe comme son oncle allemand mais rempli d’une Haine parfaite contre le Roy de France. L’état français n’est pas la France, le président français ne représente pas la France comme le fut le roi de l’ancien régime.

 

Voici, ils sont tout vanités, leurs œuvres sont néant ; leurs idoles, un vain souffle ![2] »

Voici que les nations sont comme la goutte suspendue à un seau, elles sont réputées comme la poussière dans la balance ; voici que les îles sont la poudre menue qui s’envole[3].

 

L’œuvre de président actuel haïssant la France et sa Mémoire, sera honnît pas l’Histoire, écrite dans le sang du Peuple de France. Ses lois liberticides, bioéthiques iniques, pour une minuscule minorité, détruit la vraie famille d’une femme et d’un homme.

 

 

Publie le 17 juillet 2021 par Véronique Lévy

 

Monsieur Macron, toute mon enfance j’ai entendu parler de la dictature nazie ou stalinienne… Mon frère-que vous avez reçu dans vos salons élyzéens- voyait des collabos à chaque coin de rue… j’ai vécu dans cette terreur fantôme et aujourd’hui, vous vous comportez comme un tyran de mascarade SS… et je le dis devant le peuple béni de France … Oui je le dis devant ce peuple que vous méprisez, déchirez…

Ce pauvre peuple si patient que vous avez confiné, humilié et qu’aujourd’hui, vous montez en factions vaccinés / non vaccinés… ce peuple si patient est un peuple de la liberté et vous ne piétinerez plus sa fierté, sa dignité. Réfractaires, nous le seront et c’est nous qui renverserons la bête! « La bête de l’évènement », disiez-vous avec cynisme et vous avez testé les Français depuis un an… Et aujourd’hui, vous provoquez la Mère des petits, des pauvres, des humiliés dans son sanctuaire…

…Moi, fille du Verus Israël qu’est l’Église du Christ, fille de France et de la liberté, je vous le dis : le peuple ne se couchera pas ! Aux terrasses, dans les gares, ou ailleurs, Il ne présentera pas sa pièce d’identité ou de « santé conforme » pour satisfaire vos délires de pureté sanitaire! On ne laissera pas mourir les non vaccinés aux portes des hôpitaux; interdits aux non testés, comme jadis « interdit aux juifs », aux homosexuels, aux lépreux, aux intouchables, aux pestiférés… aux prêtres réfractaires. Vous ne séparerez plus les familles ; vous ne ferez pas injecter les enfants! Vous ne censurerez plus la vérité! C’est la bête qui se couchera!

 

Vous êtes allé trop loin, monsieur Macron. Moi, Véronique
Jeanne Lévy

 

« ENTENDEZ-VOUS CELUI QUI VIENT[4]?

 

France, noble Dame, tu es souillée par la prostitution sacrée, de ces hommes politique jeunes et arrogants. Ils détruisent un peuple avec des lois impies et iniques. Mais les lois passent comme une vague dans le ressac et la houle. Il ne restera rien. Les lois humaines sont mortelles celles de Dieu, Éternelles. Les lois des hommes corrompus par l’argent trompeur, des banquiers sans frontière ni mémoire, comme George Soros, ne sont rien. Ils sont fumés et écrans de fumées, tout passe, tout lasse.

 

Ils profanent la France par des décrets ineptes, ces hommes inaptes à la vie. Le premier ministre est un girondins émasculé, comme cette France Châtrée.  France, tu es Esclave. France redevient Libre, libre de tes geste, libre de tes pensées millénaires, libre de ta vie. Les politiques ne sont pas La Politique. Ils sont tout véreux. Vous êtes esclaves de l’Argent, par les finances internationales jouant avec Big Pharma.

L’état doit être au service du Peuple, un intendant, un administrateur, celui qui s’occupe de son troupeau. Mais où se trouve le Berger, le Pasteur ? Il a abandonné son peuple, pendant un temps indéterminé, voyant le Régicide du 21 janvier 1793 sur la place de la Révoltions en face des Tuileries. L’état devient un Tyran, qui se prend pour Jupiter.  Il finira mal, comme l’a prophétisé Prométhée dans la pièce tragique d’Eschyle :

 

 

 PROMETHEE ENCHAINE.

 

PROMÉTHÉE

Ma mère, à laquelle on donne bien des noms quoiqu'

Elle se présente sous une forme unique, Thémis ou Gaïa, M'a plus d'une fois annoncé ce que nous réservait l'avenir ; Que ce n'était pas par la force et la violence…

 

… PROMÉTHÉE

… Il n'y aura aucun terme à mes

Douleurs, avant que Zeus ne soit détrôné…

 

PROMÉTHÉE Tu peux être assurée que cela se produira.

IO Et qui lui arrachera son sceptre ?

 

PROMÉTHÉE Lui-même, avec ses absurdes caprices.

IO

Comment ça ? Explique-moi, si tu ne risques rien.

 

PROMÉTHÉE

Il célèbrera une union dont il aura à se repentir.

IO Avec une déesse, ou une mortelle ? Si tu le peux, dis-le.

 

Un homme sans enfant ne peut comprendre un homme, un époux, un père, une mère, une famille. La liberté sans conscience est un esclavage, un bien-être collectif qui glisse vers une tyrannie totalitaire, et annihile le véritable sens de la vie communautaire d’un pays tel que la France. Le président est un jeune enfant et comme le dit le prophète Isaïe :

 

« Mon peuple est opprimé par des enfants, et des femmes le gouvernent. Mon peuple, ceux qui te dirigent t’égarent, et ils ruinent le chemin où tu dois passer[5]

 

Les hommes sont devenus craintif, craignant les femmes tyranniques. Égalités des sexes qui prend racines dans le livre [du XIVe] satyrique de la kabbale l’Échelle de Ben Sira. Les femmes deviennent des hommes dans leur esprit. Le pouvoir devient chaos et cacophonie, avec des hommes en mal de masculinité, face au matriarcat politique. C’est la furie et le rut des mâles, à une danse, au dieu Priape et ses rites dionysiaques. Pauvre France, te voilà la Grande Prostituée, avec ces Enfants en politiques mineurs, à défaut de symphonie majeur, vers le vent apocalyptique et sanglant.

 

Le sefer Ben Sira[6] ou l’Alphabet de Ben Sira, fut écrit vers les années Xe. Il est le premier livre qui fait apparaître le Démon LILITH, la première femme d’Adam.

 

Sfer Ben Sira : « Peu après, le jeune fils de Nabuchodonosor tomba malade. Celui-ci dit à Sira, “Guéris mon fils, sinon tu périras.” Sira s'assit et conçut une amulette où il écrivit le Saint Nom ainsi que ceux des anges chargés de la médecine, des formes, des images, leurs ailes, leurs mains et leurs pieds. Nabuchodonosor regarda l'amulette : “Qui sont-ils ?”

 

“Ce sont les anges qui sont responsables de la médecine, Senoy, Sansenoy et Semangelof.”

 

Alors que Dieu a créé Adam, qui était seul, Il dit : “Il n'est pas bon que l'homme soit seul” (Genèse 2:18). Il créa une femme de la terre, comme Il avait créé Adam lui-même et l'appela Lilith. Adam et Lilith commencèrent immédiatement à se battre. Elle disait : “Je refuse à me tenir au-dessous”, et il répondait : “Je ne veux pas me tenir en dessous de toi, mais seulement au-dessus. Car tu es juste bonne à être dans la position la plus basse, alors qu'il me revient d'être le plus élevé.”3

 

Lilith répondit : “Nous sommes égaux l'un à l'autre car nous avons tous deux été créés à partir de la terre.” Mais personne ne répondit. Lorsque Lilith vit cela, elle prononça le Nom Ineffable et s'envola dans les airs. Adam était en prière devant son Créateur : “Souverain de l'univers ! dit-il, la femme que tu m'as donnée s'est enfuie.” Alors le Seigneur envoya trois anges pour la ramener.

 

Le Seigneur dit à Adam : “Il sera bien qu'elle accepte de revenir, sinon, chaque jour cent de ses enfants mourront.” Les anges avaient quitté Dieu et poursuivi Lilith, qu'ils atteignirent dans le milieu de la mer, dans les eaux puissantes où les Égyptiens étaient destinés à se noyer. Ils répétèrent les paroles de Dieu mais elle ne voulait pas revenir. Les anges dirent : “Alors nous devrons te noyer dans la mer.”

 

“Laissez-moi !” dit-elle. “J'ai été créée seulement pour provoquer la maladie chez les nourrissons.” Si l'enfant est mâle, j'ai le pouvoir sur lui pendant huit jours après sa naissance, si c'est une fille, pendant vingt jours."

 

Quand les anges entendirent les paroles de Lilith, ils insistèrent pour qu'elle revienne. Elle leur jura par le nom de l'Éternel : “Chaque fois que je vous vois, ou vos noms ou vos amulettes, je n'ai aucun pouvoir sur le nourrisson.” C'est pourquoi on écrit le nom des jeunes enfants sur des amulettes. Elle accepta également qu'une centaine de ses enfants meurent chaque jour. Aussi, tous les jours cent démons périssent[7]. »

 

Lilith, est un démon femelle, Reine des Striges et des Lémures, des Larvæ, des vampires et loup-garou. Elle est épouse de Samael ; démon infernal du monde mouvant de l’océan, qui représentait chez les Ancien, le monde infernal. Elle est l’équivalent de Hécate. Dans ce livre, c’est le mythe fondateur chez les sémites, de l’Androgyne.

 

La peur collective mise en service dans la société, peut dériver en des excès de tout bord, comme la colère et faire s’effondrer les barrages de principes fondateurs d’une civilisation multimillénaire. L’état qui a tout pouvoir et bascule dans la tyrannie totalitaire, étouffe une population qui veut vivre. Un homme qui ne peut plus respirer et sent sa fin s’approcher, et dans un instinct de survie, lutte contre cette volonté, pour survivre.

 

La révolte est un geste typiquement humain pour sortir de ce carcan oppressant. L’exemple paroxystique qui eut entre mai 1942 et septembre 1943, au camp d’extermination de Treblinka, portant le nom du village à proximité, en Pologne, à 80 km au Nord-est de Varsovie est frappant, et unique. Les Juifs asservis, où leurs personnalités furent annihilées, écrasés, broyés, humiliés de toutes les façons et leur mort volés, comprirent qu’il fallait faire quelque chose d’extraordinaire, pour reprendre leur liberté, et ce, à commencer par la mort. Le suicide, non pas dans un acte désespéré, mais acte libre, face à un mur implacable et sans pitié, était le moyen contre les SS de leur reprendre par la violence leur dignité d’homme. En ce suicidant, ils choisissaient leur propre destin, sans donner la possibilité fatale aux tortionnaires, d’être leur maître de la vie.

 

 Les Juifs comprirent à ce moment précis, dans une ambiance mortifère où toute espérance était derrière les grillages électrifiés, d’être leur propre maître. Les SS furent pris de court, et commences la Révolte du camp d’extermination de Tréblinka.

 

Ce fait réel est bien exposé dans le livre de François Steiner : Treblinka, la révolte d’un camp d’extermination. Le camp de Sobibor, Maïdanek, firent de même, et purent se révoltés à leur tour. Ces sont des pans d’histoire, certes absolument uniques et féroces, mais étant donné l’ampleur du phénomène mondial qui se dévoile, et qui s’accomplit sous nos yeux, il est de notre Devoirde crier ce qui se passe.

Je me souviens à Paris, en avril 2004, et côtoyant les Juifs Messianiques, j’eus le courage de poser une question, La question.

Je connaissais, bien sûr la réponse, mais mon cœur me disait de rencontrer mes frères. Je rencontre Esther et son mari Shimon, dans une soirée où l’on fêtait le Sabbat, un vendredi soir :

 

 Est-ce que Auscwitz-Birkenau, au temps de l’AntiChrist, reprendra du service comme les autres camps de la mort nouvellement reconstruit, pour les déportations et extermination de masse, pour les Juifs messianiques, les Chrétiens et les personnes de bonne volonté ?

 

Shimon me répond grave et bref :

 

Oui ! C’est tellement évident.

 

Ce n’est pas de la science-fiction. Des Juifs s’étant enfuies des camps de concentration et voyant la destruction de masse d’un tout un peuple, dans une politique volontaire, à exterminer tout ce qui est vivant, dans un système industriel et une économie de mort, voulurent témoigner de l’impensable. Aucun Juif des ghettos comme celui de Cracovie ou Varsovie ne voulurent les croire, tellement leur témoignage fut énorme. Les lois, les décrets, le passeport, l’officialité des entreprises, les postes de travail à l’université, ou autre profession, était un bouclier démocratique et infaillible, une protection sûre et inviolable. L’Histoire de ces personnes incrédules eurent raison de leur vie. Je ne veux pas affoler, mais l’heure est grave. Ce qui suit est une démonstration clinique, tirés de faits historiques, à partir de documents facilement accessibles.

Nous ne pouvons plus être traiter de paria, de citoyen de seconde zone, de paranoïaques, d’égoïstes, de personnes à être chasse, pourchasser, voir être abattu.

 

Sans doute inquiet d'être en reste d'une outrance, Emmanuel Lechypre, éditorialiste économique, est celui qui a frappé le plus fort, et de loin : traitant les non-vaccinés de "dangers publics pour les autres", réclamant qu'ils soient traités comme des "parias de la société", qu'ils ne "bénéficient pas des mêmes droits que les autres citoyens" et les interpellant carrément pour finir : "on vous vaccinera de force ! Je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination...", il insistait, avec une satisfaction gourmande de son effet : "Il faut aller les chercher avec les dents... Et avec des menottes s'il le faut ![8]"

 

Ce n’est pas de la rhétorique de bas-étage, d’un journaliste ayant bu trop de pastis, mais une réelle pensée outrancière. Les Apolline de Malherbe, Caroline Fourest, Thomas Porcher, l’Institut Pasteur, Emmanuelle Ducros, etc… sont les journalistes du système MATRIX, esclaves des machines sans cœur, grisé par la force étatique, ces nouveaux dieux des médias Mainstream. La liberté n’est pas une idée, un concept, un fantasme, c’est la plus haute vertu avec l’amour. Ces deux piliers façonnent toute civilisation, élever les hommes vers une haute croissance irréversible ; nous sommes mortels mais en vue de l’immortalité incorruptible : l’Éternité.

 

Je ne peux m’empêcher de pense à ces vers d’Arthur Rimbaud :

 

Elle est Retrouvée.

Quoi ? L’Éternité.

C’est la mer allée

Avec le soleil

 

 [Mai 1872 – Une Saison en Enfer]

 

Les journalistes partisans, sont les maîtres penseurs, les yeux fixés sur le Panthéon obscur des dieux nouveaux de l’Hémicycle, Abime nouveaux et tyrannie nouvelle. Les mass média sont les augures qui chantent le désastre terrible de toute une nation apeurée, rempli de doute, paralysé par la masse inébranlable du flux et reflux des nouvelles incessantes. Les haruspices déployées par ces nouveaux nécromanciens, manipulent en chœur, nos entrailles, faire aboutir dans un consentement forcé, notre mort certaine.

 

… Aujourd’hui les États se battent entre eux pour une province, une ville ; la guerre est le jeu des Princes comme la diplomatie celui des Ministres. C’est un mal, certes, un grand mal, mais d’une espèce, en somme, peu différente du jeu ou de la prostitution. Vous allez étendre ce mal à l’ensemble du corps social, ce sera comme si, non contents de tolérer le jeu ou la prostitution, vous faisiez du pays tout entier un colossal tripot ou un gigantesque lupanar. Alors, les États ne seront plus maîtres de la guerre, ils ne la décideront ni ne la contrôleront, les peuples se battront entre eux sans savoir précisément pourquoi ; ils le sauront de moins en moins, et ils se battront de plus en plus, avec plus de rage, à mesure que disparaîtront inutilement, sous les bombes, les richesses qu’ils convoitaient ; ils ne se battront plus pour devenir riches, mais pour ne pas crever de faim ; ils crèveront de faim tout de même, la commune misère engendrera des haines dont personne ne peut se faire une idée, dont personne ne peut imaginer les destructions, car la misère et la haine enflammeront les cerveaux, provoqueront des découvertes fabuleuses, exécrables. La guerre ne reculera devant rien.

 

Je dis même que, en réclamant pour vous le droit de sacrifier tous les mâles, vous avez rendu possible, à l’avenir, ou même inévitable, le sacrifice des femmes et des enfants. Lorsque tout le monde fera la guerre, on fera aussi la guerre par tous les moyens, car la logique personnelle du diable est plus inflexible que l’enfer. L’idée que les nécessités de la guerre justifient tout en inspire immédiatement une autre : la préparation à la guerre, étant la guerre elle-même, ne saurait bénéficier d’une moindre tolérance, la Morale se trouve ainsi exclue de la paix comme de la guerre. En ces temps-là, s’ils viennent jamais, le nom même de la Patrie sera effacé de la mémoire des hommes, car les Patries appartiennent à l’ordre de la Charité du Christ, la Sainte Charité du Christ est la Patrie des Patries ; et qui osera les reconnaître dans ces bêtes enragées se disputant comme des chiennes les dépouilles du monde ? »

 

L’égalité absolue des citoyens devant la Loi est une idée romaine. À l’égalité absolue des citoyens devant la Loi doit correspondre, tôt ou tard, l’autorité absolue et sans contrôle de l’État sur les citoyens. Car l’État est parfaitement capable d’imposer l’égalité absolue des citoyens devant la Loi, jusqu’à leur prendre tout ce qui leur appartient, tout ce qui permet de les distinguer les uns des autres, mais qui défendra la Loi contre les usurpations de l’État ?

 

… Un vêtement peut être plus ou moins élégant, plus ou moins chaud, mais il est encore préférable d’être vêtu de haillons que d’aller tout nu. Le citoyen moderne, lorsque ses privilèges auront été confisqués jusqu’au dernier, y compris le plus bas, le plus vulgaire, le moins utile de tous, celui de l’argent, ira tout nu devant ses maîtres…

 

… « Toute ville chez nous, disait amèrement, deux cents ans plus tôt, Richelieu, non moins centralisateur que Robespierre, est une capitale. Chaque communauté française, en effet, ressemble à une famille qui se gouverne elle-même, le moindre village élit ses syndics, ses collecteurs, son maître d’école, décide la construction des ponts, l’ouverture des chemins, plaide contre le Seigneur, contre le curé, contre un village voisin » — car nos paysans furent toujours terriblement procéduriers. À l’exemple des villages, les villes élisent leur maire, leurs échevins, entretiennent leurs milices, décident souverainement des questions municipales[9]

 

La Révolution n’est pas celle de l’homme ni des masses en France, mais celle d’un système aux Idées et Pensées, dépouillé des textes fondateurs et utopiques de Platon, dans sa République. C’est un fantasme pervers, miroir aux alouettes. Tromper de millions de personnes par l’hypocrite discours des Droits de l’homme, contre le Droit divin de Dieu. C’est un CRIME…

 

 La royauté en France fit des abus terribles, mais jamais comme celle de la république vide de consistance et de foi. Elle n’est que critique de la raison pure. La Révolution de Lucifer a chassé du pays de la France, le Royaume de Dieu, sur la Terre sacrée de France. Elle est devenue profane, d’avoir vue ses autels profanés, ses reliques et les saintes Espèces en des gestes sacrilèges, piétinés sur la boue et la rage des sans-culottes.

C’est la Cité de Satan contre la Cité de Dieu, la Contre Église qui fait la guerre à l’Église. Mais gare aux hommes politiques véreux. Ils font la guerre contre Dieu. Insensés et aveugles, ils vont tomber dans la fosse, l’Hadès, l’Enfer Sans Nom. Ces guides aveugles, abreuvés de la philosophie de Voltaire et Rousseau deviennent les Sans-Noms, perdu dans leur haine et leur folie hystérique. Certains me critiquerons et me traiteront de fanatique.

 

OUI ! Je suis fanatique de la LIBERTÉ, crier, hurler : je suis LIBRE, quitte à braver la mort en personne

 

L’état a substitué aux français, dans son ensemble, son droit particulier au droit de l’homme, concept rigide, vide de substance ontologique. Au nom de la Nation, l’état usurpe la liberté du Français à la sécurité nationale, illusion programmée par les maître du monde à sa fin, la fin du Monde. C’est la raison d’état contre la liberté de l’homme libre, le mensonge d’état contre la vérité millénaire des terroirs français vivant des saisons et salaisons.

 

Depuis le 12 juillet 2021, ceux qui refusent en toute liberté, choix, discernement, le vaccin contre le coronavirus ou covid 19, sont traités de parias, de citoyen de seconde zone, d’égoïstes, de passagers clandestins, d’irresponsables. L’homme glisse peu à peu vers une société ou le progrès est synonyme de technologie, avancée sur la vie humaine. L’homme et devenu une machine.

 

Nous sommes dans l’ère Deus ex-machina. Les films d’anticipation comme Metroplolisde Fritz Lang en 1927,  Blade Runner de Ridley Scott d’après le roman de Philippe K. Kadick [1982], Equilibrium , Equals, Cypher, Matrix, The Island, Labyrinthe, etc… sont des paraboles dévoilant une réalité glaciale et dure, en ces jours. Le livre roman La 25eHeure de Virgil Gheorghiu, 1949, Plon, explique très bien ce basculement irrémédiable. George Orwell écrivit quant à lui le fameux 1984, d’où et sortit en 1984, un film du même nom avec John Hurt & Richard Burton, de Michael Radford.

 

Ces essais d’anticipation furent de terribles prophéties à l’égard de l’homme nouveau, l’homme enivré par la consommation de masse et jetable. Ce sont les fameux : j’aime/j’aime pas,des réseaux sociaux et commentaire en fin d’article. Nous constatons une réduction à l’état binaire des sentiments humains, une réflexion atrophiée de la pensée complexe de l’homme libre, soumit à un esclave toujours plus aliénant.

 

La liberté est un acte créateur, un fondamental ontologique chez l’homme. Cet acte créateur peut être faillible, réversible, mais acte déterminant et déterminé, tenant compte des facteurs extérieurs et du fort interne de la personne. Selon le discernement dans son environnement immédiat ou lointain, la personne peut acter et choisir selon son libre arbitre, sa conscience. La liberté de l’homme tend toujours vers le bien, la vie, le désir d’élever l’autre, choisir selon ses gouts propres.

 Cet acte créateur vient exclusivement de Dieu, Dieu souverainement Libre. La liberté ce n’est ne pas faire n’importe quoi, selon ses envies, comme une envie d’une pomme, par exemple. Je ris mais c’est vrai quoi. De plus j’aime les pommes, c’est bon !

 

La liberté est l’acte le plus fort dans la vie de l’homme. Cette Vertu grande, est au sommet de la vie intime de l’être humain. Cette liberté personnelle agit sur la communauté de l’homme, pour le bien de la Cité. Nos premiers parents usèrent très mal de ce cadeau unique dans notre univers terrestre.

 

Grâce à la liberté comme l’a pu écrit Georges Bernanos du temps féodal, les villes et villages français, étaient indépendant selon les décisions dans les seigneuries, les cantons, les régions d’alors. Les princes, ducs, comtes, et barons étaient assujettis aux roysde France, possédant une latitude extraordinaire.

 

 Le pouvoir politique de la France n’était pas centralisé comme elle est aujourd’hui. La France depuis la Ve République, et surtout avec Mitterrand, est détruite par la puissance centralisée de Paris, seule attraction possible pour la gouvernance française. C’est un désastre majeur pour notre pays. Les Français sont devenus assistés, dépendant d’une capitale politique qui lui donnent quelques miettes pour assouvir ses envies populaires. L’état parisien pense pour le peuple de France, décide de son Destin, de son orientation, de sa vie intime. L’état n’est pas français, il est issu d’une commune du Nord de la France.

 

Mais où est passée Lutèce ?

 

Où sont passés ces hommes libres ? Ils ont disparu avec la Révolution, la Grande, sous la Terreur, de 1789 à 1795. Cinq années de GUERRE contre le Peuple de France.

 

France, les hommes politiques compromis, te font la Guerre depuis la première république. La Guerre civile est une monstruosité mais nous y courons tout droit. Lorsqu’un homme étouffe jusqu’au bord de l’asphyxie, il panique, veut sauver sa peau, ne pensant qu’a lui. C’est l’instinct de survie. C’est la boucherie qui l’emporte dans les cités des hommes.

 

Ce manque notable et étouffant des Français, est dû à la pression administrative, pression des taxes et impôts exorbitants. Le français craint de perdre son emploi, pression d’avenir et immédiate. La vie excessive en coups de la vie, dans les ménages est déprimante, chronique d’une angoisse récurrente depuis 1974. La création des banques pour les particuliers, l’arrivée des cartes bancaires dans la même année, la montée des supermarchés et centre commerciaux depuis la fin des années 1970, ont détruit la vie française.

 

Je connais une histoire qui vient du terroir bien française, sur l’évolution du paysan qui exploite ses champs. Depuis des millénaires l’homme utilisa les bœufs, les ânes, voir les chevaux pour exploiter la terre, la faire fructifier selon les saisons. L’homme vivait entre le jour et la nuit, La lune fut le grand baromètre du monde des hommes. Lorsqu’un paysan voyait un agriculteur comme lui sur sa charrue, tractée par les bœufs, allait selon la vitesse animale, se croisaient, et se disaient le bonjour. Ils se parlaient parfois entre eux, de la vie et autre, tranquillement sous le soleil ou la pluie.

 

 Lorsque le tracteur à chenille arriva en 1881 par le Russe Fodor Blinov, les hommes ressentirent une fierté neuve sous le soleil, sans penser au danger mécanique qui aller écraser la société, la terre et l’environnement. Le progrès n’est pas la tyrannie technologique, sursoir l’homme, l’avilir en des spasmes aliénants. La France découvrit par Henry Bauchet en 1907 le tracteur bien français. Il prend son essor dans les années 1950.

 

 Le paysan abandonna les animaux domestiques pour la machine. Celle-ci allait certes, lentement mais le bonjour disparut lors des croisements entre les deux agriculteurs. La vitesse supplanta la courtoisie des hommes vers le profit accélérant la perte, et l’explosion des personnes. Nous sommes devenues des individus obsédés par le rendement, avec l’accroissement des taxes et impôts. Les primes aidant, créés dans les années 1970, les aides financières dus aux intempéries prêtées par le ministère de l’agriculture, fit du paysan, un esclave.

 

L’homme de la terre avait son propre pouvoir, pour l’abattage des bêtes, tels que l’agneau, la vache, le mouton, le veau. En ces jours, il n’est plus possible d’abattre son cheptel. Il faut l’abattoir. Les conditions de fin de vie des animaux est une honte atroce.

 

 La vie n’est plus respectée en rien. Techniques froides, où la bête sentant sa mort prochaine, lutte comme une folle, pour essayer, en vain, de se soutirer à cette mort sans condition. Vous allez me dire, ce ne sont que des bêtes pour la chaîne alimentaire. Certes ! Et le respect de la Création de Dieu, à défaut d’autres dieux infernaux, poussant au lucre, le vice, le mensonge, la jalousie, l’envie. Le monde devient une machine implacable, un rouleau compresseur se moquant des hommes, qui meurt en silence ou en des cris de terreur.

 

Le paysan vivait avec la terre, il respirait l’air de la vie sous la mémoire de ses ancêtres. La France a perdu sa mémoire agricole, elle était paysanne, vigneronne. La pêche, la cueillette étaient les plaisirs naturels des fins de semaines.  Les urbains dépendaient des hommes au terroir ancestraux. La fuite de l’aube d’or, fut remplacée par l’électricité, ces phares à longue portés sur les tracteurs. La bougie, la lampe à huile disparut des terres des hommes. Certes ! Ce fut nécessaires, mais à quel prix.

 

[1] Ibid. p. 55-57-58-59

[2] Is. 41, 29

[3] Is. 40, 13

[4]https://www.medias-presse.info/lettre-ouverte-de-veronique-levy-a-emmanuel-macron-au-sujet-de-la-tyrannie-quil-instaure/144517/

Ces Pauvres de Marie qui ne seront jamais parqués par les transhumanistes eugénistes appliquant les programmes de messieurs Attali et Alexandre… la « solution finale » modifiant le génome humain avec un vaccin faisant l’inventaire tous les trois mois des populations terrorisées par un hypothétique variant, pour les rendre serviles, soumises, labellisées conformes à vos phantasmes d’un monde arraché à sa liberté dont l’Autre Nom est l’Éternel. Et l’Éternel des Armées ne vous permettra pas de profaner le génome humain qui est Sa Signature, Son écriture, Son poème!

Homme à l’image irréductible, car c’est le Visage de Dieu Qui y rayonne
Et pour l’éternité…

… je vous l’affirme, la dictature ne passera pas. Et ce sont ceux que vous traitez de fascistes, qui justement, ne le sont pas.

Je voulais dire à tous les « messeigneurs journalistes » carpettes et collabo, de ne plus servir la propagande de l’internationale libérale… de ne plus se laver les mains du sang des cellules souches des innocents, car Dieu vomit la tiédeur et les compromissions.

[5] Is. 3, 121

[6] Œuvre parodique se composant d'un récit de la naissance fabuleuse de Ben Sira, d'un dialogue entre Ben Sira âgé d'un an et son maître sur les 22 lettres de l'alphabet, d'une série de réponses aux questions du roi Nabuchodonosor, et d'un commentaire des 22 proverbes par les descendants de Ben-Sira. Composée à l'époque gaonique. Il en existe 4 versions, certaines complètes en 4 épisodes, d'autres incomplètes. L'ordre peut varier. - Nombreux ms. - Traductions en latin, perse, arabe, yiddish et ladino

https://data.bnf.fr/14585088/alphabet_de_ben_sira/

[7] https://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_de_Ben_Sira

[8] https://www.francesoir.fr/societe-sante/le-non-vaccine-cette-espece-abattre

Emmanuel Lechypre, né le 3 avril 1966 à Paris, est un éditorialiste économique français officiant sur BFM TV, BFM Business, RMC et RMC Story.

[9] La France Contre les Robots, Georges Bernanos, Éditions robert Laffont, MCMXLVII, 1947, Paris, N° 240, pp. 65-66-72