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Par Anonyme, le 14.08.2025
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Par Anonyme, le 30.04.2024
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Par Anonyme, le 17.01.2024
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Par Anonyme, le 23.12.2023
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Par RETY Fabienne, le 31.10.2023
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Date de création : 28.12.2010
Dernière mise à jour :
14.06.2025
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Dieu est l’Être Incréé : 39 "Voyez maintenant que c’est moi, moi qui suis Dieu, et qu’il n’y a point de Dieuàcôtéde moi. C’est moi qui fais mourir et qui fais vivre ; j’ai blessé, et c’est moi qui guérirai, et il n’y a personne qui délivre de ma main." 40 Oui, je lève ma main vers le ciel, et je dis : Je viséternellement[1]! Le Cantique de Moïse contient toutes les prophéties des prophètes. Ce cantique est le Germe prophétique, semence jetée dans le désert des hommes. Malédiction sur le mont Ébal, et bénédiction sur le mont Garizim. Aucun homme ne peut mettre Dieu en égalité avec un démon. C’est piétiner la Gloire de Dieu, profaner son Esprit. Dieu est le Transcendant, on ne peut mettre Dieu à l’épreuve. Il et des tabous, des anathèmes, des voués à l’interdit. Et l’homme sauvage se permet d’outrager, humilier le Nom, ha-shem en Hébreu. Nous ne sommes pas dans l’hérésie de Manès. C’est dire que Lucifer est le dieu bon et Adonaï le Dieu mauvais. Malheur à l’homme sur Terre.
Saint Mélhodius prédit ensuite les conflits et le règne successif des Ismaélites, vainqueurs des Romains ; des Français, vainqueurs des Ismaélites, puis d’un grand peuple du Nord, dont l’invasion précédera le règne per- sonnel de l’Antéchrist. Alors se formera un royaume universel, qui sera reconquis par un prince français, et la justice régnera pendant une longue suite d’années.
Nous n’avons pas à nous occuper ici de la prophétie. Ce qu’il nous importe de remarquer, c’est la distinction de la bonne et de la mauvaise magie, du sanctuaire des fils de Seth et de la profanation des sciences par les descendants de Caïn[2].
Voilà la genèse de l’égarement de ces occultistes, mais hélas, il faut retenir que sont des ecclésiastiques qui écrivent comme Louis Alphonse Constant et avant lui, l’abbé Trithème, ces fameux grimoires. Dire et écrire que le sefer Jésirah, le sefer ha-Zohar et l’Apocalypse sont les chefs-d’œuvres de l’occultisme est le comble de Babel, l’aveuglement des « De Gigantibus », de Balaam, ils sont la race Caïn et de Chanaan. Et comme le dit Isaïe : Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres…
La lumière astrale de l’univers, est pour les occultistes croyant en Dieu, au démiurge, et architecte de l’univers, l’Esprit Saint. Ils rabaissent l’Esprit de Feu et de Lumière a de la pure physique. L’astral, est pour les occultistes de l’ultra-matière, mais c’est de la pure manifestation démoniaque, une apparition sensible éthérique. Dire que les esprits élémentaires comme dans la croyance animiste sont des créatures issues du feu, terre, eau, air et éther, ne sont que des présences de démons.
Pythagore disait : « De même qu’il y a trois notions di-vines et trois régions intelligibles, il y a aussi un triple verbe, car l’ordre hiérarchique se manifeste toujours par trois. II y a la parole simple, la parole hiéroglyphique et la parole symbolique ; en d’autres termes, il y a le verbe qui exprime, le verbe qui cache, et le verbe qui signifie ; toute l’intelligence hiératique est dans la science parfaite de ces trois degrés. »Le maître de Samos influença considérablement l’occultisme comme la maçonnerie. Nous le remarquions dans un certain nombre de degrés du Rite Écossais du livre Moral et Dogme d’Albert Pike. Ces trois degrés de verbe constituent le triangle équilatéral (trois côtés parfait), je vous laisse à votre réflexion.
Dieu est l’absolu do la foi ; mais l’absolu de la raison c'estI ’Être[3].Nous ne pouvons pas ne pas penser à la déesse Raison dans la maçonnerie :
En conséquence,l'Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Être suprême, les droits suivants de l'homme et du citoyen[4].
Le culte de la Raison exprime pourtant une tendance assez forte qui se manifestera à nouveau avec le culte de l'Être suprême et, plus tard, avec la théophilanthropie[5]. Ce qui est stupéfiant, c’est cette opposition avec l’Être Incréé qu’est Dieu. « L’Être Suprême » conviendrait plus avec l’Einsoph dans la kabbale Juive, le dieu impersonnel, dans le panthéisme, innaccessible, un absolu amorphe.
Le dieu noir de l’Inde, le monstrueux Butrem aux formes priapesques, y régnait sous le nom de Belphégor[6]. Les talmudistes et le juif platonicien Philon racontentdes choses si honteuses du culte de cette idole qu’elles ont semblé incroyables au savant jurisconsulte Seldenus.
C’était, disent-ils, une idole barbue à la bouche béante, ayant pour langue un gigantesque phallus; on se décou-vrait sans pudeur devant ce visage et on lui présentait des oITrandes stercoraires. Les idoles de Moloch et de Chamos étaient des machines meurtrières qui tantôt broyaient contre leur poitrine de bronze, tantôt consu- maient dans leurs bras rougis au feu de malheureux pe-tits enfants. On dansait au bruit des trompettes et des tambourins pour ne pas entendre les cris des victimes et les mères conduisaient la danse. L’inceste, la sodomie et la bestialité étaient des usages reçus chez ces peuples infâmes et faisaient même partie des rites sacrés[7].
Des taureaux nombreux me cernent de fortes bêtes de Bashan m’encerclent ; contre moi baille leur gueule, lions lacérant et rugissant. Des chiens nombreux me cernent, une bande de vauriens m’entoure ; comme pour déchiqueter mes mains et mes pieds. Je peux compter tous mes os, les gens me voient, ils me regardent ; ils partagent entre eux mes habits et tirent au sort mon vêtement[8].
Belphégor est l’un de ces chiens qui encerclent Jésus, qui Le persécutent jour et nuit au pied de la Croix, l’Agonie de Jésus qui dure depuis deux mille à nos jours jusqu’en la seconde Parousie.
Le dieu Baal était le dieu protecteur, le principe mal, associé à la déesse Asarthé qui était le principe femelle. Il est une divinité solaire, lorsqu’elle est représentée sous forme humaine, elle est couronnée d’un diadème de rayons, et son emblème est appelé en Hébreux comme en Phénicien « hammân »,... Ba’al hammanîm est le seigneur du soleil... est le maître des cieux... Il est aussi malfaisant, parce qu’il brûle et tue... il est le dieu de la mort... surtout dans les pays brûlés de l’Orient... les grecs et les latins qui avaient reconnu en lui le soleil, l’assimilaient au Cronos lui- même ou Saturne, le dieu qui dévore ses propres enfants... il inspirait ainsi la terreur à ses fidèles, qui honoraient ce dieu usuel par des actes de cruautés et cherchaient à se le rendre propice par l’immolation de victimes humaines, en particulier d’enfants... Le nom de ce faux dieu apparaît pour la première fois dans l’histoire de Balaam... Un grand nombre d’Israëlites succombèrent et adorèrent le dieu Baal de Péor...Baal est aussi « l’idole de la jalousie »...
Ba’al zebub, dieu d’Accaron est devenu Beelzebub, un objet de dérision et de mépris... On adora Baal dans un temple à Samarie et à Jérusalem...Il avait des prêtres nombreux...r evêtus d’ossements sacerdotaux, ...
« Kemârin...Baalbérit est un nom particulier adoré par les habitants de Sichem sous Abimélek. Il peut être comparé à Zeus, le dieu de l’alliance, le deus fidius des latins...Il fut sur le mont Phégor. Il vient du dieu Bethphogor, son culte se faisait sur le mont Phogor[9]...»
Les Juifs accusèrent Jésus d’avoir en Lui l’esprit de Beelzebubautrement dit Belzebuth, le troisième lieutenant de Lucifer ; de chasser les démons par le pouvoir du Prince des démons. Ce péché nous l’avons vu est le péché contre l’Esprit de Vérité.
Le groupe autrichien Belphégorfit une jaquette d’allure extérieure agréable avec la Madone portant son Fils dans ses bras. L’icône est traitée avec une seule couleur à dominante bleue. À l’intérieur de la jaquette, deux photos illustrent la violence de ce groupe.
La première scène est un autel en pierre où se trouve dessus une femme nue le dos sur l’autel, son corps représente le véritable autel pour les satanistes ; deux cierges noirs sont à droite et à gauche de l’autel corporel, c’est le rituel principal pour le sacrifice lors d’une quelconque « messe noire ».
Dans la seconde scène, nous voyons le chanteur du groupe se taillader la poitrine à l’aide de deux couteaux comme firent les prêtres de Ba’al, face à Élie sur le mont Carmel. La tête du chanteur est penchée comme pour montrer la folie idolâtrique pour son dieu, Ba’al de Péor.
Une troisième scène très brutale exhibe un tout petit enfant en bas âge nu sur un autel, Jésus Enfant ; nous sommes douloureux de voir son cadavre découpé en tranche à partir des pieds jusqu’au plexus solaire, ces tranches signifient les « hosties vivantes ». Ils reprirent cette vsion de l’Enfer à partir d’une vision donnée par Jésus à la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich. Cette révélation du Seigneur montrait à celle-ci l’irrévérence des prêtres aux XIX ème siècles :
La nuit pendant mon sommeil, ayant vu à ma droite l’horrible scène du meurtre de l’enfant, je me retournai de l’autre côté plein d’effroi ; mais je le vis encore à ma gauche. Alors je priai Dieu de toute mon cœur afin qu’il me délivrât de cet affreux spectacle ;… Et quand je regardais autour de moi, bien des choses encore plus horribles que ces sacrifices d’enfants passèrent devant mon âme ; je vis bien souvent Jésus lui-même cruellement immolé sur l’autel par la célébration indigne et criminelle des saints mystères. Je vis devant des prêtres sacrilèges la sainte hostie reposer sur l’autel comme un enfant Jésus vivant qu’ils coupaient en morceaux avec la patène et qu’ils martyrisaient horriblement. Leur messe, quoique accomplissant réellement le saint sacrifice m’apparaissait comme un horrible assassinat[10].
Belphégor-Zeus qui est le dieu de l’orage et du tonnerre sera précipité dans la Géhenne de feu. Est-il le dieu de la foudre ? Où sont ses éclairs et ses tonnerres ? Zeus n’est que le Prince des ténèbres, Dieu seul est Dieu de l’orage.
David, le prophète royal vécut aux XI èmes siècles avant l’ère Chrétienne alors que la mythologie Grec commence aux XX. Moïse fut sous le feu de la Théophanie en 1250 avant notre ère alors que la guerre de Troie eut lieu en 1180 avant. L’épée fulgurante de l’Ange face au Paradis est bien antérieure à Zeus Olympien. Dieu, El Shaddaï se rit du dieu Zeus Olympien, le dieu de l’orage humain.
Le Seigneur de l’Orage nous l’avons vu, rayonne dans le Psaume 29. Satan singe la Splendeur de Dieu par une de ses inventions pernicieuses avec le dieu Zeus. Car Zeus possède les mêmes titres :
Zeus-Paterdonna Jupiter, le père des dieux. Il est aussi le dieu de la foudre, Satan est l’Abraxas. IL est Zeus assembleur de nuage, Zeus foudroyant. Zeus roiest aussi Zeus, l’assembleur des nuées. Il est encore le Zeus Olympien foudroyant. Zeus le fougueuxet Zeus porte égideet enfin il est Zeus aux sombres nuées. Les sombres nuées ne sont-elles pas les sombres pensées de Satan le Vaincu.
Un Seul Dieu. N’est-il pas notre Goël, notre Terrible, Dieu de l’Orage, notre Grand, notre Fort, Terrible est Son Nom, Redoutable est Son Nom. Malheur aux hommes qui se maudissent en maudissant Dieu, blasphémant l’Enfant Jésus et la Sainte Cène. La grande Colère, trois fois Sainte de Dieu arrive, et comme le dit le prophète Joël :
Il est grand le jour de Yahvé, très redoutable - et qui peut l’affronter[11] ? » Mais pour nous le prophète royal nous écrit : « Yahvé est ma lumière et mon salut, de qui aurais-je crainte ? Yahvé est le rempart de ma vie, devant qui tremblerai-je[12] ?
Belphégor a récupéré la belle icône de Andrea Mategna[13].
… Des Gonzague, l'une des plus prestigieuses d'Italie. Malgré ses rapports avec Bellini et Léonard de Vinci, Mantegna se refusera à adopter leur innovation dans l'usage des couleurs, pour rester fidèle à sa technique de précision graphique. La Chambre des époux (ou Camera Picta) est l'exemple le plus accompli de son œuvre[14].
Conséquence fatale des harmonies universelles ! On ne forfait pas impunément à la vérité. L’homme révolté contre Dieu est poussé malgré lui à l’outrage de la na-ture. Aussi les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets, le sabbat des sorciers au moyen-âge n’était qu’une répétition des fêles de Chamos et de Belphégor.Nous avons montré plus haut ce sue sont les sabbat sataniques. Ce qu’il faut comprendre, c’est que les messes au Vatican se sont bien inspiré de ces fameux sabbats.
Les inspirations prophétiques cherchent les vierges, et c’est en haine de l’innocence et de la virginité que la Goclie sacrifie des enfants au sang desquels elle reconnaît pour- tant une vertu sacrée et expiatoire. Lutter contre l’at- trait de la génération s’est c’c.xercer à vaincre la mort, et la suprême chasteté était la plus glorieuse couronne proposée aux hiérophantes[15].Les nouveaux hiérophantes sont ces certains princes de l’Église qui usent de ces vierges, victimes de rapt.
Nous ne prétendons pas ici faire ce que n’a pasf ait l’Église, nous constatons seulement sur ce sujet quel fut l’enseignement secret des initiés aux sciences occultes. Ils disaient que le grand agent magique, justement appelé Lucifer, parce qu’il est le véhicule de la lumière et le réceptacle de toutes les formes, est une force inter-médiaire répandue dans toute la création ; qu’elle sert à créer et à détruire, et que la chute d’Adam a été une ivresse érotique qui a rendu sa génération esclave de cette lumière fatale ; …Albert Pike ayant étudié toute l’œuvre d’Éliphas Lévi compris ce que voulait écrire ce dernier sur Lucifer.
Un peu plus loin, il dit ceci : Chacun de ces vices s’est personnifié en une idole noire ou un démon qui est une image négative et défigurée de la divinité qui donne la vie ; ce sont les idoles de la mort. Moloch est la fatalité qui dévore les enfants. Satan et Nisroch sont les dieux de la haine, de la fata- lité et du désespoir. Astarlé, Lilith, Nahéma, Astaroth, sont les idoles de la débauche et de l’avortement. Adramelech est le dieu du meurtre. Bélial, celui de la révolte éternelle et de l’anarchie. Conceptions funèbres d’une raison près de s’éteindre qui adore lâchement son bourreau pour obtenir de lui qu’il fasse cesser son supplice en achevant de la dévorer !
Le vrai nom de Satan, disent les kabbalistes, c’est le nom de Jéhovah renversé, car Satan n’est pas un dieu noir, c’est la négation de Dieu. Le diable est la personnifica-tion de l’athéisme ou de l’idolâtrie. Pour les initiés, ce n’est pas une personne, c’est une force créée pour le bien, et qui peut servir au mal ; c’est l’instrument de la liberté[16].
Anton S. Lavey ne dit pas mieux dans sa « Satanic Bible ». À cause de l’hexagramme ésotérique, l’équilibre magique entretient chez ceux qui croient ces concepts douteux, une dualité entre le dieu bon et le dieu noir qu’est Jéhovah. C’est le dieu Janus.
… Et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas connu. Ténèbres, je le suis. Mais Ténèbres, où est ta ténèbre. Le ciel et la terre sont remplis de ta gloire. Tout crie : Gloire.
Ce qui est atypique avec les francs-maçons, c’est que leur obsession, est la reconstruction du Temple, Beit Hakmidash en Hébreu. Ce temple est une allégorie. Et sans cesse comme Pike d’ailleurs parlent des deux colonnes en bronze devant le Hékal : Yakin et Boaz.
Ces deux colonnes représentent dans la haute magie, l’Équilibre selon eux. L’un est masculin et l’autre féminin. C’est aussi Ormuzd et Harriman dans l’Avesta de Zarathoustra. L’un, est le dieu bon et l’autre le dieu infernal, celui qui détruit tout sans cesse. C’est aussi l’interpénétration sexuel du masculin dans la matrice. C’est le Yin dans le Yang dans le taoïsme. C’est l’équilibre par lequel la clavicule de Salomon selon Hermès Trismégiste montre le chemin le juste milieu entre la verticale et l’horizontale du cosmos et le monde terrestre.
De plus, ce n’est pas Salomon qui fut l’auteur du Temple, mais son père David fils de Jessé (Yssaï).
« 2 Le roi David se leva sur ses pieds et dit : « Écoutez-moi, mes frères et mon peuple. J’avais l’intention de bâtir une maison de repas pour l’arche de l’alliance de Yahweh et pour le marche-pied de notre Dieu, et je faisais des préparatifs pour la construction. »
… « Vois maintenant que Yahweh t’a choisi pour bâtir une maison qui sera son sanctuaire. Sois fort, et à l’œuvre. » "David donna à Salomon son fils le modèle du portique et des bâtiments, chambres du trésor, chambres hautes, chambres intérieures qui s’y rattachaient, ainsi que de la chambre du propitiatoire ; le plan de tout ce qu’il avait dans l’esprit touchant les parvis de la maison de Yahweh et toutes les chambres à l’entour, pour les trésors de la maison de Dieu et les trésors du sanctuaire, "pour les classes des prêtres et des lévites, pour toute l’œuvre du service de la maison de Yahweh, et pour tous les ustensiles employés au service de la maison de Yahweh ; "
"le modèle des ustensiles d’or, avec le poids de l’or, pour tous les ustensiles de chaque service ; le modèle de tous les ustensiles d’argent, avec le poids, pour tous les ustensiles de chaque service ; ...« "le modèle des fourchettes, des aiguières et des coupes d’or pur ; des amphores d’or, avec le poids de chaque amphore ; des amphores d’argent, avec le poids de chaque amphore ;" "de l’autel des parfums en or épuré, selon son poids ; le modèle du char de Dieu, des Chérubins d’or qui étendent leurs ailes et couvrent l’arche de l’alliance de Yahweh." « Tout cela, dit David, tous les ouvrages de ce modèle, Yahweh m’en a instruit par un écrit qui, de sa main, est venu à moi[17]. »
Comme pour Moïse au sommet des trois crêtes du mont Horeb [Sinaï], (Épée), Dieu lui montre le modèle du ciel, la Tente de la Rencontre, l’autel des parfums et bien sûr l’arche de l’alliance (le coffre). Le modèle, pour rappeler que nous sommes créés à l’image et la ressemblance de Dieu. David fut ami avec Hiram de Tyr, pays des cèdres d’or. Ce Temple est le sigle de stabilité du royaume davidique, le piédestal d’ha-Shem El Shaddaï. L’oint bien aimé de Dieu organisa les classes des prêtres de la tribu des Lévi. Il donna tout l’or, l’agent, le fer, le bois, pour le mobilier, les ustensiles saints. Il lui donna les plans selon le modèle venu du ciel. Les pierres venues du Néguev étaient déjà taillées. David fut l’Architecte de Dieu ; alors que son fils Salomon était le maître-d’œuvre. Comme Moïse, David était un vrai « voyant », le Prophète royal de Dieu. Comme Moïse et David, Die conclut une alliance faisant venir le Oint Éternel, Verbe de Dieu, Lui la Gloire, Lumière cachée dans la Ténèbre de sa chair.
[1] Dt, 32, 39 et 40
[2] Ibid. pp. 47-100-105
[3] Is. 5, 20
[4] Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789
[5] https://www.universalis.fr/encyclopedie/culte-de-la-raison/
[6] Le nom de « Belphégor » vient de Ba’al, le dieu suprême de la Phénicie, dieu qui fit tomber un grand nombre d’Israélites. Ba’al signifie : seigneur, maître et possesseur. Le nom de « Belphégor » vient de Ba’al, le dieu suprême de la Phénicie, dieu qui fit tomber un grand nombre d’Israélites. Ba’al donna aussi le nom Hannibal ( Ba’al est grâce) ; Balthassar de Bel-sur-usur veut dire « Bel protège le roi ». Ba’al signifie : seigneur, maître et possesseur.
[7] Ibid. pp. 121-122-
[8] Ps. 21, 13-14 et 17-19
[9] Dictionnaire de la Bible, de F. Vigouroux, tome premier, 2ème partie, Paris, Letouzey et Ané, éditeurs, 1912, p.1315 à 1321- 1336
[10] La vie de la sainte Vierge, d’après les méditations d’Anne-Catherine Emmerich, par Brentano Clément, traduit de l’abbé de Cazales, chapitre XIX, Les rois mages fêtent la conception de Marie, Collection Religion, Book Edition, http://www.livres-mystiques.com/partieTEXTES/CatherineEm/Viedemarie/chapitr1.html
[11] Jl 2, 11
[12] Ps 27, 1
[13] Andrea Mantegna est né en 1431. Il doit sa formation de peintre à l'école de Padoue dont les figures emblématiques portent le nom de Donatello ou Paolo Uccello. Les commandes, telles que les fresques de la chapelle Ovetari, affluent malgré son jeune âge. Très rapidement, Mantegna se positionne comme un moderniste en utilisant une nouveauté pour l'époque, la perspective. Son mariage avec Nicolosia Bellini, la sœur de Giovanni, lui ouvre les portes de Venise. Avec le retable de San Zeno, Mantegna atteint l'âge de la maturité artistique. Il s'installe à Mantoue et devient peintre de la cour…
[14]https://www.decitre.fr/livres/andrea-mantegna-et-la-renaissance- italienne-9781859950135.html#resume
[15] [15] Histoire, de la Magie avec une Exposition claire et Précise de ses Procédés, de ses rites et de ses mystères, par Éliphas Lévi auteur de dogme et rituel de la haute magie, avec 18 planches représentant 90 figures, Paris, Germer Railliére, Libraire-Éditeur, 17, Rue de L’École-de-Médecine, Londres et New-York, H. Baillière. C.H Bailly-Baillière, 1860, Droit de traduction et de reproduction réservé, pp 122-149-
[16] Ibid. pp. 196-200-
[17] 1 Chr. 28, 2-10-11-12-13-14-17 et 19