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Les reliques de saints Pierre et Paul

Publié le 04/07/2019 à 14:21 par laparousiedejesus Tags : reliques pierre paul rome vatica martyr croix sang sueur leon bloy
Les reliques de saints Pierre et Paul

Ce qui est extra-ordinaire avec l'article ci-dessous, C'est que je l'ai prophétisé depuis mars 2003 en la ville d'Orléans. Je l'ai écris dans un livre non publié sous le titre : La Génération des Vauriens, tirés du premier livres des Macchabées.

 

Les reliques de saint Pierre, prince des Apôtres doit aller à Constantinople. Car Rome va disparaître au profit de Byzance pour préparer celle qui est notre Mère : Jérusalem.

 

Notre Cité Mère est Yerushalaïm. Rome a prévalu. La Cité aux spet collines, Babylone apocalyptique sera remplacée par la véridique Cité aux sept Collines : Sion, le Nombril du monde.

 

Il est important que les reliques soient à Constantinople. Car un Autel et quel Autel doit être le propitiatoire des reliques de martyrs, à fortiori Pierre et Paul. Le Dernier pape sera le Pape Mendiant auprès du Roi Mendiant celui qui tient le lieux, c'est à dire : l’Église Finitive. Et ce Roi Mendiant sera l’Épée comme de Dieu, Celle de Dieu en Personne. Cet Homme ou cet Étranger comme le dit si bien Léon Bloy dans Sueur de Sang :

 

(Sueur de Sang de Léon Bloy, chapitre le Bon Gendarme, (18780-1871), avec autographe & portrait de l’Auteur, Paris, Collection « Les Proses », Georges Crès et Cie°, Éditeurs, 116 boulevard Saint-Germain, MCMXIV, p. 41

 

Cet Étranger dis-je, est étranger du monde, retiré sur une montagne, loin des hommes et de la civilisation Occidental. Cet homme, roi des Miséreux, attend son Heure comme son frère Mal-Heureux, ha-Mashia Daggal : l'AntiChrist.

Personne ne le connait, ni où il va. Il est Apôtre des gueux et des Va-nus-pieds comme le dira encore Léon Bloy.

 

Le pape François offre une relique de Pierre au patriarche Bartholomeos

 

Les faits À la surprise du métropolite Job de Telmessos, le pape François lui a donné, samedi 29 juin, un reliquaire contenant des ossements de saint Pierre pour qu’il les remette au patriarche œcuménique Bartholomeos Ier de Constantinople.

 

La Croix, par Nicolas Senèze, à Rome,

le 01/07/2019 à 16:56

 

Le pape François offre une relique de Pierre au patriarche Bartholomeos Le petit reliquaire a fait samedi après-midi le voyage vers Istanbul où il a été officiellement remis au patriarche Bartholomeos qui l’a solennellement exposé lors d’une messe célébrée à Feriköy, dans l’église des Saints-Apôtres, à l’occasion de la fête éponyme. Samedi matin 29 juin, à la fin de la messe de la fête des saints Pierre et Paul, le pape est descendu sous le baldaquin de la basilique vaticane pour se recueillir sur la tombe de Pierre.

 

À ses côtés, selon une tradition désormais bien établie, le métropolite Job de Telmessos, représentant du patriarche œcuménique Bartholomeos Ier de Constantinople. « Attendez-moi après la messe, j’ai un cadeau pour vous pour l’Église de Constantinople.

 

J’y ai pensé en priant la nuit dernière », confie alors le pape au métropolite Job, qui a raconté sa surprise sur son compte Facebook. « Donnez-les à mon frère Bartholomeos »

 

« Allons-y », lui lance le pape à la sacristie, avant d’emmener le représentant orthodoxe dans la petite Ford qu’il utilise dans le Vatican. « Sainteté, où allons-nous ? », interroge le métropolite. « Au Palais pontifical, le cadeau est là », répond simplement François qui emmène alors son hôte au troisième étage du Palais apostolique, dans la chapelle privée de l’appartement pontifical.

 

« Cette chapelle a été installée par Paul VI, lui explique le pape. Il y a amené quelques reliques de saint Pierre depuis la basilique. Je ne vis pas ici, je n’utilise pas la chapelle. En priant cette nuit, je me suis dit que ces reliques seraient mieux à Constantinople, au Phanar. Les voici. Prenez-les avec vous. Donnez-les à mon frère Sa Sainteté le patriarche œcuménique Bartholomeos.

 

Ce cadeau ne vient pas de moi : c’est un cadeau de Dieu. » « Un pas gigantesque vers l’unité concrète » C’est ainsi que le petit reliquaire a fait samedi après-midi le voyage vers Istanbul où il a été officiellement remis au patriarche Bartholomeos qui l’a solennellement exposé lors d’une messe célébrée à Feriköy, dans l’église des Saints-Apôtres, à l’occasion de la fête éponyme.

 

« C’est pour nous un événement extraordinaire, inattendu et qu’on ne pouvait pas espérer », s’est réjoui le métropolite sur Radio Vatican. Des reliques anciennes ont bien déjà été remises par l’Église latine aux orthodoxes, mais il s’agissait jusque-là de reliques volées par les Croisées et restituées dans le cadre de l’amélioration des relations entre catholiques et orthodoxes.

 

Les reliques de Pierre, elles, ont toujours été à Rome. Le geste du pape leur fait faire un « aller simple » pour Constantinople, se réjouit le métropolite Job qui y voit « un pas gigantesque de plus vers l’unité concrète ».

 

Le mystère des reliques de saintPierre

 

De nouvelles reliques présumées de saint Pierre à qui le Christ, selon le récit de l’Évangile, confia son Église, ont été découvertes dans une église médiévale de Rome. Retour sur l’histoire de la découverte d’ossements

 

La Croix, par Céline Hoyeau, le 07/09/2017 à 12:58

 

Le mystère des reliques de saint Pierre L’église Santa Maria in Cappella à Rome, dans le Trastevere.

CCGobbler

 

Aurait-on trouvé de nouvelles reliques de saint Pierre ? La question agite les archéologues romains, dans l’attente du résultat d’analyses scientifiques. Voici quelques mois, un ouvrier a découvert, à l’occasion de la restauration d’une église médiévale du vieux quartier romain Trastevere, Santa Maria in Capella, deux pots en plomb sous la dalle recouvrant l’autel.

 

Sur ces pots, étaient inscrits les noms des premiers papes, les saints Pierre, Félix et Calixte, tandis que, à l’intérieur, se trouvaient des fragments osseux. Propriété de la famille Doria Pamphili, l’église Santa Maria in Cappella – fermée depuis 1982 pour restauration – fut consacrée en 1090 par Urbain II (pape de 1088 à 1099). À cette époque, l’Église est divisée et un autre pape (non reconnu) règne sur une partie de Rome sous le nom de Clément III. Selon les historiens, il se pourrait donc que l’église du Trastevere ait pu alors être utilisée comme chapelle pontificale par le pape légitime.

 

Ce qui pourrait aussi expliquer que les reliques de saint Pierre aient pu y être transférées. Toutefois, « il est légitime de douter de l’authenticité des fragments osseux dans la mesure où il est admis que le reliquaire a été ouvert à plusieurs reprises au fil des siècles », tempère l’archéologue italien Cristiano Mengarelli, interrogé par l’AFP. Etonnante découverte en 1939 Un certain mystère entoure depuis longtemps le sort des reliques de saint Pierre… Selon la tradition, elles sont en effet conservées sous la basilique Saint-Pierre, sur la colline vaticane où l’apôtre aurait été crucifié, la tête en bas, dans les années 64-70, sous le règne de Néron.

 

Mais le Vatican n’a jamais attesté qu’elles étaient absolument authentiques. En 1939, Pie XII nouvellement élu, obéissant aux dernières volontés de son prédécesseur Pie XI qui voulait être enterré près de saint Pierre, lance des travaux dans la crypte des papes. Les ouvriers mettent alors à jour une gigantesque nécropole romaine datant des quatre premiers siècles de notre ère (1). Pie XII décrète, dans le secret, une campagne de fouilles archéologiques.

 

Les mausolées sont parfaitement intacts, telle une petite Pompéi qui court sous la nef de l’actuelle basilique : des ruelles étroites, bordées de maisons de brique rouge, un dédale de sarcophages païens et de tombes chrétiennes, que l’empereur Constantin avait fait recouvrir de terre pour construire sa basilique au dessus.

 

« Oui, la tombe du prince des apôtres a été retrouvée ! » Mais pourquoi avoir choisi précisément cet emplacement ? Si ce n’est pour ériger la nouvelle église, comme cela se faisait à l’époque, exactement au-dessus de la tombe du martyr à qui l’on voulait la dédier…

 

Et effectivement, les scientifiques découvrent une sorte d’armoire de marbre, au centre de l’abside constantinienne, exactement sous le maître-autel de l’actuelle basilique. Et dans cette « Mémoire de Constantin », comme l’appellent les archéologues : une tombe.

 

Deuxième indice : cette tombe est surmontée d’un petit monument funéraire datant du IIe siècle, adossé à un mur recouvert de sang de bœuf, la couleur pourpre destinée dans l’antique Rome à l’empereur ou aux personnages éminents. Les archéologues pensent alors immédiatement au « trophée » (stèle) destiné à faire mémoire de l’apôtre Pierre, que Gaius, un prêtre chrétien, mentionne dans une lettre datée de 180 après J.-C. Troisième indice : toutes les tombes chrétiennes qui entourent ce trophée – certaines datant du Ier siècle – sont disposées en étoile, comme aimantées par l’édifice. Ce sont vraisemblablement les chrétiens de toute l’Europe qui, dès les premiers siècles, demandèrent à être enterrés au plus près du martyr Pierre, en signe de vénération. Il n’en faut pas plus pour convaincre Pie XII :

 

« Oui, la tombe du prince des apôtres a été retrouvée ! », annonce-t-il en 1950. La tombe est vide Mais où sont les ossements ? La tombe est vide. Cependant un détail intrigue les archéologues : dans sa précieuse « mémoire », Constantin a inclus un mur de contrefort, « le mur aux graffitis », où est notamment écrit :

 

« Pierre, veuille intercéder pour tous les chrétiens ensevelis près de votre corps ». Or en 1953, des ouvriers récupèrent, dans une cavité de ce mur, des restes d’ossements mêlés à des fragments d’un tissu de pourpre et d’or. Selon les analyses réalisées par trois universités, ces ossements auraient appartenu à un homme robuste ayant vécu au Ier siècle, âgé de 60-70 ans, mesurant 1,65 m et atteint d’arthrose.

 

Les analyses montrent aussi qu’aux ossements est mélangée de la terre de la tombe vide… Il n’en faut pas plus pour que Paul VI déclare en 1968 qu’« on peut penser qu’il s’agit des reliques de Pierre ».

 

Il les réinstalle là où elles furent découvertes, dans une boîte en plexiglas, que l’on peut voir encore aujourd’hui en visitant les Fouilles.

 

(1) Cette nécropole est accessible aussi grâce à un site Internet qui en propose une visite virtuelle en 3D :

 

www.vatican.va/various/basiliche/necropoli/scavi_english.html.

 

Il permet notamment de mieux visualiser la structure des autels construits au fil des siècles au-dessus de la tombe de saint Pierre, jusqu’à l’autel majeur de l’actuelle basilique.

 

 

La tombe de saint Paul à nouveau visible à Rome

 

La Croix le 11/12/2006 à 21:03 Modifié le 11/12/2006 à 21:03

 

La tombe de saint Paul à nouveau visible à Rome Le Saint -Siège a officiellement confirmé lundi 11 décembre que le tombeau de l'Apôtre Paul se trouve bien dans la basilique romaine Saint-Paul-hors-les-Murs, en accord avec la plus ancienne tradition de l'Église.

 

« La tombe de saint Paul est bien là et peut être vue sur un côté », a affirmé le cardinal Andrea Cordero Lanza Di Montezemolo, archiprêtre de la basilique, au cours d'une conférence de presse. Accompagné du responsable du département épigraphique des Musées du Vatican, Giorgio Filippi, le cardinal a expliqué qu'une ouverture avait été réalisée sous l'autel principal de la basilique afin de permettre aux pèlerins d'apercevoir un côté du tombeau : un sarcophage, en partie invisible, qui mesurerait 2,55 m de long, 1,25 m de large et 0,97 m de haut.

 

Responsable de la basilique depuis 2005, le cardinal Cordero Lanza Di Montezemolo a précisé que ce sarcophage, identifié lors de fouilles commencées en 2002 et largement enfoui, n'avait « jamais été ouvert ». Des radiographies ont été réalisées pour identifier son contenu, mais se sont avérées « inefficaces », a-t-il confié, indiquant qu'une ouverture du sarcophage, afin de retrouver d'éventuelles reliques de saint Paul , était une « possibilité à l'étude ».

 

Il a néanmoins précisé que l'ordre d'ouvrir le tombeau doit venir du pape. Une plaque de marbre « paulo apostolo mart » La découverte de ce sarcophage, réalisée par une équipe restreinte d'experts des Musées du Vatican, avait été faite lors de deux sondages effectués après le Jubilé de l'an 2000.

Il s'agissait, devant la demande croissante des pèlerins et des visiteurs, de vérifier la présence du tombeau de l'Apôtre. Ces recherches, très ciblées, avaient été entreprises sur la base de relevés topographiques effectués au milieu du XIXe siècle : les travaux réalisés après l'incendie qui, en 1823, avait détruit la basilique paléochrétienne avaient en effet donné lieu à un certain nombre de croquis très utiles aux archéologues d'aujourd'hui. Un premier sondage a donc permis de découvrir, sous les marches de l'autel dédié à saint Timothée, collé au maître-autel, des traces de l'abside de l'ancienne basilique construite dès le règne de l'empereur Constantin, au début du IVe siècle.

 

Un second sondage, effectué sous l'autel principal de la basilique, à l'intérieur de la Confession, a permis d'accéder au sarcophage, au niveau du sol de la basilique construite par l'empereur Théodose à la fin du IVe siècle. Une plaque de marbre, toujours visible sous le maître-autel, porte d'ailleurs l'inscription « paulo apostolo mart », « Paul Apôtre mart (yr) ».

Une découverte qui confirme la tradition Cette plaque est probablement liée au culte funéraire voué à saint Paul, puisqu'elle est percée de trois orifices permettant de toucher physiquement le tombeau, ce qui aboutissait à la « création » de reliques par simple contact avec le marbre du sarcophage. Cette découverte archéologique confirme la très ancienne tradition qui, dès la fin du IIe siècle au moins, plaçait le tombeau de saint Paul dans la nécropole située le long de la Voie Ostienne, au sud de Rome. Après sa mort, un édicule aurait été élevé sur sa tombe et un culte secret y aurait été célébré.

 

Mais il faudra attendre Constantin, et la légalisation du christianisme en 313, pour qu'une grande basilique soit construite et inaugurée en 324. Dès 386, à la demande des empereurs Théodose, Arcadius et Honorius, une basilique plus grande fut toutefois construite pour faire face à l'afflux des pèlerins. Constamment embellie, cette basilique a brûlé en 1823 et c'est le pape Léon XII qui s'occupa de la construction de l'édifice néoclassique que l'on connaît actuellement et qui a conservé le plan basilical originel. Les fouilles de Saint-Paul-hors-les-Murs sont à rapprocher de celles qui ont commencé en 1939 sous l'autel de la Confession, à Saint-Pierre, pour situer la tombe de l'Apôtre Pierre.

 

Ordonnées par Pie XII, elles durèrent dix ans et firent apparaître, en 1941, des ossements attribués au saint , à l'intérieur d'un mur rouge recouvert de marbre à l'époque de Constantin. Mais il avait fallu attendre trente-cinq ans pour que l'Église confirme officiellement, par la voix de Paul VI, la présence de ces reliques. Nicolas SENEZE Le cardinal Andrea Cordero Lanza di Montezemolo, archiprêtre de la basilique Saint-Paul-hors-les murs, montre le sarcophage de l'Apôtre Paul, sous l'autel,

 

lundi 11 décembre (Photo Tarantino/AP).