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c'est un article à explorer
Par Anonyme, le 14.08.2025
??????????????
Par Anonyme, le 30.04.2024
bonsoir ! heureuse d'avoir pu lire un post nouveau sur la situation en terre sainte et sur le " roi mendiant"
Par Anonyme, le 17.01.2024
l'époque où ce genre de site de vraies informations grouillaient sur le net (tout a été effacé!), me manque, j
Par Anonyme, le 23.12.2023
c'est très intéressant !
Par RETY Fabienne, le 31.10.2023
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Date de création : 28.12.2010
Dernière mise à jour :
14.06.2025
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Le groupe autrichien « Belphegor » a fait une jaquette d’allure extérieure agréable avec la Madone portant son Fils dans ses bras. L’icône est traitée avec une seule couleur à dominante bleue. À l’intérieure de la jaquette, deux photos illustrent la violence de ce groupe.
La première scène est un autel en pierre où se trouve dessus une femme nue le dos sur l’autel, son corps représente le véritable autel pour les satanistes ; deux cierges noirs sont à droite et à gauche de l’autel corporel, c’est le rituel principal pour le sacrifice lors d’une « messe noire ».
Dans la seconde scène, nous voyons le chanteur du groupe se taillader la poitrine à l’aide de deux couteaux, comme le firent les prêtres de Baal face à Élie sur le mont Carmel. La tête du chanteur est penchée comme pour montrer sa folie idolâtrique pour son dieu, le Baal de Péor.
Une troisième scène très brutale exhibe un tout petit enfant en bas-age nu sur un autel qui ne peut pas ne pas évoquer l’innocence de Jésus Enfant. On exhibe son cadavre découpé en tranches, comme un rôti, à partir des pieds jusqu’au plexus solaire. Ces tranches signifient les « hosties vivantes ». Cela rappelle étrangement la vision de Catherine Emmerich sur la profanation de l’Eucharistie sous la forme du dépeçage de Jésus-Agneau : « Je vis bien souvent Jésus lui-même cruellement immolé sur l’autel par la célébration indigne et criminelle des saints mystères. Je vis devant des prêtres sacrilèges la sainte hostie reposer sur l’autel comme un enfant Jésus vivant qu’ils coupaient en morceaux avec la patène et qu’ils martyrisaient horriblement. Leur messe, quoique accomplissant réellement le saint sacrifice m’apparaissait comme un horrible assassinat. »[1]
La dernière image met en scène la vision inversée de la Sainte Cène. Le dessin regroupe douze personnes autour d’un homme au visage démoniaque ; cette représentation pousse jusqu’à l’extrême l’abomination de la Désolation : le sang jaillit du plafond, et une mare de sang submerge le sol de la pièce, des corps humains sont dispersés sur l’ensemble du lieu. Les douze boivent et mangent les cadavres des hommes et non le Corps du Fils de l’Homme. Le dessinateur a volontairement violé et défiguré l’œuvre géniale de Léonard de Vinci, « La Sainte Cène » peinte en 1590. La motivation du groupe est claire, celle de blesser Dieu en son Fils à travers l’Eucharistie. Ils mettent en scène un tableau anthropophage en une image insupportable.
On se reportera pour l’iconographie à l’image qui accompagne ce texte en pièce jointe et pour plus d’information aux sites d’Internet suivants :
–www.belphegor.at: « Lucifer incestus ».
La femme sorcière qui devient l’autel de chair, dans cette cérémonie renversée, donne son sang menstruel dans le saint calice, haut blasphème. De mémoire d’homme, le serpent ne peut que grimper sur l’arbre du bien et du mal. Là, il encercle Jésus crucifié. Il est fou de voir dans un clip, une messe noire. Ces quelques clichés sont issus de la vidéo Lucifer Incestus, le groupe est Autrichien de Vienne. La femme,dans ce clip n’a aucune parcelle de maternité, sa poitrine est comme atrophiée. Elle se maquille comme les groupes Norvégiens Marduk, Emperor, Mayhem, Dark Funeral et autres. Ils sont sous l’influence Viking attendant le Ragnarok.
Lucifer Incestus (2003)
1. Intro: Inflamate Christianos
2. The Goatchrist
3. Diaboli Virtus In Lumbar Est
4. Demonic Staccato Erection
5. Paradise Regained
6. Fukk The Blood Of Christ
7. Lucifer Incestus
8. The Sin - Hellfucked
9. Fleischrequiem 69 / Outro
Thanks to sinthoras.666@web.de for sending these lyrics.
http://www.darklyrics.com/lyrics/belphegor/luciferincestus.html#7
Ce dessin du groupe Trash metal, Belphégor, Lucifer Incestus montre l’AntiChrist entouré de Ses Prostituées fameuses dont l’une va boire sur son côté le sang de la Mort. Ils se sont inspirés de la vie de sainte Catherine de Sienne qui a bu sur le côté de Jésus, au Sang de la Vie. Nous connaissons cet épisode illustre grâce à Raymonde de Capoue. Ces prostituées sont toutes des religieuses, brunes et blondes. Lisons le passage sur la vie de sainte Catherine de Sienne :
Un jour que la servante du Christ avait découvert l'horrible ulcère pour le laver, la plaie, rendue plus infecte encore par une action du démon, répandit une odeur tellement suffocante que le cœur de la sainte en fut tout soulevé, et des nausées insurmontables s'emparèrent de son estomac. La vierge du Seigneur en eut l'âme d'autant plus affligée qu'eu ces jours-là la grâce de l'Esprit-Saint avait donné, par de nouvelles victoires, de nouvelles perfections à ses vertus. Elle s'emporte d'une sainte colère contre son propre corps et lui dit: " Par la vie du Très-Haut, le très doux Époux de mon âme, tu vas recevoir dans tes entrailles ce qui te fait tant d'horreur. " Elle recueille aussitôt dans une écuelle la lavure et le pus de cette hideuse blessure, et, se retirant à l'écart, elle avale tout ce breuvage. Cela fait, elle vit cesser aussitôt toute tentation de dégoût. Je me rappelle qu'un jour où, en sa présence, on eut l'occasion de me raconter cette histoire, elle la compléta en me disant secrètement à voix basse: " Jamais, depuis ma naissance, je n'ai pris nourriture ou boisson si suave et de si bon goût. " J'ai trouvé dans les écrits du Frère Thomas qu'elle avait eu pareille impression quand elle avait appliqué son visage sur l'ulcère, comme nous l'avons raconté plus haut. Elle a secrètement avoué à ce Frère, qu'en ce moment elle sentit une odeur des plus douces et fort délectable. Je ne sais, lecteur, si vous pèserez bien tout ce qui vient d'être dit; pour moi, je vais ajouter à ce récit, aussi brièvement que possible, les enseignements que le Seigneur a donnés à la suite de ce fait.
L'épouse du Christ, après avoir reçu de son Époux toutes des victoires, vit apparaître, pendant sa prière, dans la nuit qui suivit son dernier triomphe, le Sauveur du monde, Notre-Seigneur Jésus-Christ. Il lui montra les cinq plaies sacrées de son corps, reçues au jour où il fut crucifié pour notre salut, et lui dit: " Ma bien-aimée, tu as soutenu pour moi bien des combats, et jusqu'ici, avec mon secours, tu as toujours eu la victoire. Aussi m'es-tu devenue bien gracieuse et bien agréable. Mais hier en particulier, tu as mérité tout l'excès de mes complaisances. Car non seulement tu as méprisé les délectations des sens, tenu pour rien l'opinion des hommes, et triomphé des tentations de l'ennemi, mais tu as vraiment foulé aux pieds l'instinct naturel de ton propre corps, quand, dans l'ardeur de ta charité, tu as pris si joyeusement un si horrible breuvage. C'est pourquoi, je te le dis, de même que dans cet acte tu t'es élevée au-dessus de la nature, ainsi vais-je te donner une boisson qui dépasse tout ce qui est habituellement accordé à la nature humaine. " Et, mettant la main droite sur le cou de la vierge, il approcha celle-ci de la blessure de son divin côté : "Bois, lui dit-il, ma fille, bois à mon côté, un breuvage qui remplira ton âme de tant de suavité que cette suavité fera sentir ses admirables effets jusque dans ton corps méprisé à cause de moi. " Catherine, se voyant ainsi placée à l'ouverture de la fontaine de vie, appliqua, sur la plaie sacrée, la bouche de son corps, mais bien plus encore celle de son âme; et, pendant un assez long espace de temps, elle puisa à cette source, avec autant d'avidité que d'abondance, un ineffable breuvage, dont on ne saurait expliquer les merveilleuses propriétés. Enfin, sur un signe du Seigneur, elle se détacha de cette fontaine sacrée. Elle était tout à la fois rassasiée et altérée, et la satiété ne mettait pas de dégoût dans son âme, pas plus que la soif n'y engendrait de peine[2].
Ceci est l’inversion du chapitre 6 de l’Évangile de Jean : Qui mange ma chair et boit mon sang aura la vie éternel.Les hauts Satanistes inversent la Sainte Cène pour habituer le blasphème pour l’abolition du sacrifice non sanglant, le sacrifice de la Sainte Messe. Rappelons-nous les terribles Paroles eucharistiques où Jésus offre ce qu’Il a de plus beau, Son Corps et Son Sang :
La nuit où Il fut livré, il prit le pain et dit : Ceci est mon Corps livré pour vous.
Le groupe autrichien « Belphegor » a fait une jaquette d’allure extérieure agréable avec la Madone portant son Fils dans ses bras. L’icône est traitée avec une seule couleur à dominante bleue. À l’intérieure de la jaquette, deux photos illustrent la violence de ce groupe.
La première scène est un autel en pierre où se trouve dessus une femme nue le dos sur l’autel, son corps représente le véritable autel pour les satanistes ; deux cierges noirs sont à droite et à gauche de l’autel corporel, c’est le rituel principal pour le sacrifice lors d’une « messe noire ».
Dans la seconde scène, nous voyons le chanteur du groupe se taillader la poitrine à l’aide de deux couteaux, comme le firent les prêtres de Baal face à Élie sur le mont Carmel. La tête du chanteur est penchée comme pour montrer sa folie idolâtrique pour son dieu, le Baal de Péor.
Une troisième scène très brutale exhibe un tout petit enfant en bas-age nu sur un autel qui ne peut pas ne pas évoquer l’innocence de Jésus Enfant. On exhibe son cadavre découpé en tranches, comme un rôti, à partir des pieds jusqu’au plexus solaire. Ces tranches signifient les « hosties vivantes ». Cela rappelle étrangement la vision de Catherine Emmerich sur la profanation de l’Eucharistie sous la forme du dépeçage de Jésus-Agneau : « Je vis bien souvent Jésus lui-même cruellement immolé sur l’autel par la célébration indigne et criminelle des saints mystères. Je vis devant des prêtres sacrilèges la sainte hostie reposer sur l’autel comme un enfant Jésus vivant qu’ils coupaient en morceaux avec la patène et qu’ils martyrisaient horriblement. Leur messe, quoique accomplissant réellement le saint sacrifice m’apparaissait comme un horrible assassinat. »[3]
La dernière image met en scène la vision inversée de la Sainte Cène. Le dessin regroupe douze personnes autour d’un homme au visage démoniaque ; cette représentation pousse jusqu’à l’extrême l’abomination de la Désolation : le sang jaillit du plafond, et une mare de sang submerge le sol de la pièce, des corps humains sont dispersés sur l’ensemble du lieu. Les douze boivent et mangent les cadavres des hommes et non le Corps du Fils de l’Homme. Le dessinateur a volontairement violé et défiguré l’œuvre géniale de Léonard de Vinci, « La Sainte Cène » peinte en 1590. La motivation du groupe est claire, celle de blesser Dieu en son Fils à travers l’Eucharistie. Ils mettent en scène un tableau anthropophage en une image insupportable.
L’Agonie de l’Agneau Immolé au temps de la Gentilité.
Nous donnerons un seul exemple de l’abomination fait contre Dieu même. Il vient d’un groupe de musique Autrichien, Belphégor [4], leur C.D., The Last Supper représente très bien la tendance de l’acharnement contre notre doux Agneau immolé. Le titre de cet album veut dire en français : le dernier souper ou plus exactement La Sainte Cène. Nous devinons où ils veulent en venir. Nous ne pouvons pas ne pas penser au Psaume du prophète royal, David :
Des taureaux nombreux me cernent de fortes bêtes de Bashan m’encerclent ; contre moi baille leur gueule, lions lacérant et rugissant.
Des chiens nombreux me cernent, une bande de vauriens m’entoure ; comme pour déchiqueter mes mains et mes pieds. Je peux compter tous mes os, les gens me voient, ils me regardent ; ils partagent entre eux mes habits et tirent au sort mon vêtement.[5] Belphégor est l’un de ces chiens qui encerclent Jésus, qui Le persécutent jour et nuit au pied de la Croix, l’Agonie de Jésus qui dure depuis deux mille à nos jours jusqu’en la seconde Parousie.
Le dieu Baal était le dieu protecteur, le principe mal, associé à la déesse Asarthé qui était le principe femelle. Il est une divinité solaire, lorsqu’elle est représentée sous forme humaine, elle est couronnée d’un diadème de rayons, et son emblème est appelé en Hébreux comme en Phénicien « hammân »,…Ba’al hammanîm est le seigneur du soleil…est le maîtrer des cieux…Il est aussi malfaisant, parce qu’il brûle et tue…il est le dieu de la mort…surtout dans les pays brûlés de l’Orient…les grecs et les latins qui avaient reconnu en lui le soleil, l’assimilaient au Cronos lui-même ou Saturne, le dieu qui dévore ses propres enfants… il inspirait ainsi la terreur à ses fidèles, qui honoraient ce dieu usuel par des actes de cruautés et cherchaient à se le rendre propice par l’immolation de victimes humaines, en particulier d’enfants…Le nom de ce faux dieu apparaît pour la première fois dans l’histoire de Balaam…Un grand nombre d’Israëlites succombèrent et adorèrent le dieu Baal de Péor…Baal est aussi « l’idole de la jalousie »…
Ba’al zebub, dieu d’Accaron est devenu Beelzebub, un objet de dérision et de mépris…On adora Baal dans un temple à Samarie et à Jérusalem…Il avait des prêtres nombreux…revêtus d’ossements sacerdotaux,…
« Kemârin…Baalbérit est un nom particulier adoré par les habitants de Sichem sous Abimélek. Il peut-être comparé à Zeus, le dieu de l’alliance, le deus fidius des latins…Il fut sur le mont Phégor. Il vient du dieu Bethphogor, son culte se faisait sur le mont Phogor… »[6]
Les Juifs accusèrent Jésus d’avoir en Lui l’esprit de Beelzebubautrement dit Belzebuth, le troisième lieutenant de Lucifer ; de chasser les démons par le pouvoir du Prince des démons. Ce péché nous l’avons vu est le péché contre l’Esprit de Vérité.
Le groupe autrichien Belphegor fit une jaquette d’allure extérieure agréable avec la Madone portant son Fils dans ses bras. L’icône est traitée avec une seule couleur à dominante bleue. À l’intérieur de la jaquette, deux photos illustrent la violence de ce groupe.
La première scène est un autel en pierre où se trouve dessus une femme nue le dos sur l’autel, son corps représente le véritable autel pour les satanistes ; deux cierges noirs sont à droite et à gauche de l’autel corporel, c’est le rituel principal pour le sacrifice lors d’une quelconque « messe noire ».
Dans la seconde scène, nous voyons le chanteur du groupe se taillader la poitrine à l’aide de deux couteaux comme firent les prêtres de Ba’al, face à Élie sur le mont Karmel. La tête du chanteur est penchée comme pour montrer la folie idolâtrique pour son dieu, Ba’al de Péor.
Une troisième scène très brutale exhibe un tout petit enfant en bas âge nu sur un autel, Jésus Enfant ; nous sommes douloureux de voir son cadavre découpé en tranche à partir des pieds jusqu’au plexus solaire, ces tranches signifient les « hosties vivantes ».
La dernière image met en scène la vision inversée de la Sainte Cène. Le dessin regroupe douze personnes autour d’un homme au visage démoniaque ; cette représentation repousse dans ses extrémités l’abomination de la Désolation : le sang jaillit du plafond, et une mare de sang submerge le sol de la pièce, des corps humains sont dispersés sur l’ensemble du lieu. Les douze boivent et mangent les cadavres des hommes et non celui du Fils de l’homme.
Le dessinateur a volontairement violé et défiguré l’œuvre phénoménale de Léonard de Vinci, la Sainte Cène peinte en 1590 fresque qui se situe dans le réfectoire de Sainte Marie des Grâces à Milan. L’ironie de l’histoire veut qu’un peintre délégué par la ville milanaise travailla pendant plus de vingt deux ans sur la fresque célèbre, rendre dans une atmosphère diaphane au portraits flous et indéfinis. Celle-ci a perdu la magnificence des couleurs, la clarté de la lumière ainsi que le chromatisme.
La motivation du groupe est claire, celle de blesser Dieu en son Fils. Ces tigres et lions hurlant ne se rendent pas compte de la gravité de leurs fautes, ils perpétuent le déchaînement sur le Fils de Dieu au pied de la Croix. Ils mettent en exergue la lettre en piétinant l’Esprit, bafouant le désir fou d’amour du Fils de Dieu, l’heure enfin arrivée de l’Eucharistie. Ils mettent en scène un tableau anthropophage, image insupportable contre les Anges bienheureux et le Peuple de Dieu, et un outrage sans nom contre le très Saint Nom terrible de Dieu
Jésus fut confronté au grand refus de la part des Juifs, la nouvelle opposition à la Révélation, la mission messianique du Christ Jésus, le péché demeure et s’aggrave car le Fils de l’homme est venu parmi nous et non seulement le monde ne L’a pas reconnu mais veut Le déshonorer une fois de plus. Jésus nous livre son Cœur entre Ses Mains, par ses Paroles sublimes, et les hommes piétinent sur Ce Cœur qui a tant aimé ce Monde.:
En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne manger la chair du Fils de l’homme et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous.
Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.
Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson.
Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange ; lui aussi vivra par moi.
Voici le pain descendu du ciel ; il n’est pas comme celui qu’ont mangé les pères et ils sont morts ; qui mange ce pain vivra à jamais. [7]
« Yahvé a siégé pour le déluge,… [8]
Belphegor-Zeus qui est le dieu de l’orage et du tonnerre sera précipité dans la Géhenne de feu. Est-il le dieu de la foudre ? Où sont ses éclairs et ses tonnerres ? Zeus n’est que le Prince des ténèbres, Dieu seul est Dieu de l’orage.
David, le prophète royal vécut aux XI ème siècles avant l’ère Chrétienne alors que la mythologie Grec commence aux XX. Moïse fut sous le feu de la Théophanie en 1250 avant notre ère alors que la guerre de Troie eut lieu en 1180 avant. L’épée fulgurante de l’Ange face au Paradis est bien antérieur à Zeus Olympien. L’épée Excalibur est un mythe montée de toute pièce par Merlinle grand Mage noir et récupéré par la Maçonnerie. Dieu, El Shaddaï se rit du dieu Zeus Olympien, le dieu de l’orage humain. Le Seigneur de l’Orage nous l’avons vu, rayonne dans le Psaume 29. Satan singe la Splendeur de Dieu par une de ses inventions pernicieuses avec le dieu Zeus. Car Zeus possède les mêmes titres : Zeus-Pater donna Jupiter, le père des dieux. Il est aussi le dieu de la foudre, Satan est l’Abraxas. IL est Zeus assembleur de nuage, Zeus foudroyant. Zeus roi est aussi Zeus, l’assembleur des nuées. Il est encore le Zeus Olympien foudroyant. Zeus le fougueux et Zeus porte égide et enfin il est Zeus aux sombres nuées. Les sombres nuées ne sont-elles pas les sombres pensées de Satan le Vaincu.
Un Seul Dieu, n’est-il pas notre Goël, notre Terrible, Dieu de l’Orage, notre Grand, notre Fort, Terrible est Son Nom, Redoutable est Son Nom.
Malheur aux hommes qui se maudissent en maudissant Dieu, blasphémant l’Enfant Jésus et la Sainte Cène. La grande Colère, trois fois Sainte de Dieu arrive, et comme le dit le prophète Joël : Il est grand le jour de Yahvé, très redoutable - et qui peut l’affronter ? »[9] Mais pour nous le prophète royal nous écrit : « Yahvé est ma lumière et mon salut, de qui aurais-je crainte ? Yahvé est le rempart de ma vie, devant qui tremblerai-je ? [10]
[1]Œuvre et vie de sainte Catherine de Sienne
,par Raymond de Capou,dominicaine, auteur mystique et Docteur de l'Église,(1347-1380),le Dialogue de sainte Catherine de Sienne, Traduction nouvelle de l'italien, Par le R.P. J. .HURTAUD, O.P, 1913, p. 94 et 95
[2] Ibid p. 89
[3] Ibid p. 89
[4] Le nom de « Belphégor » vient de Ba’al, le dieu suprême de la Phénicie, dieu qui fit tomber un grand nombre d’Israëlites. Ba’al donna aussi le nom Hannibal ( Ba’al est grâce) ; Balthassar de Bel-sur-usur veut dire « Bel protège le roi ». Ba’al signifie :seigneur, maître et possesseur.
[5] Ps.21, 13-14 et 17-19
[6] Dictionnaire de la Bible, de F. Vigouroux, tome premier, 2ème partie, Paris, Letouzey et Ané, éditeurs, 1912, p.1315 à 1321- 1336
[7]Jn 6, 53-58
[8]Ps 28, 3-7-10
[9]Jl 2, 11
[10]Ps 27, 1