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Par Anonyme, le 17.01.2024
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Date de création : 28.12.2010
Dernière mise à jour :
14.06.2025
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Un jeune homme qui conduisait une voiture de luxe a eu un grave accident, tuant l'un de ses passagers. Ce fait divers en rappelle un autre, très embarassant pour le pouvoir en 2012.
Correspondant à Pékin
La photographie du bolide rouge accidenté s'est répandue sur la Toile chinoise comme une traînée de poudre. Voitures sportives de luxe de prédilection des nouveaux riches fâchés avec le code de la route, les Ferrari se sont taillées une réputation sulfureuse en Chine entre les mains des «princes rouges», les héritiers des dirigeants communistes. L'accident survenu dans la nuit de jeudi à vendredi, sur la route de l'aéroport à Pékin, qui a fait un mort, n'a pas manqué de déclencher une avalanche de spéculations.
Tous les ingrédients sont réunis pour suggérer un nouveau scandale. La Ferrari 458 est partie en flammes à 3 heures du matin après avoir heurté le rail de sécurité du périphérique à grande vitesse. L'impact a été si brutal que des morceaux de la voiture étaient éparpillés sur la chaussée. La police a gardé secrète l'identité du chauffeur, âgé de 21 ans, qui s'en est tiré avec une fracture au bras. Les deux autres passagers ont été sortis vivants de la carcasse, mais l'un d'entre eux est mort sur le chemin de l'hôpital.
Un précédent célèbre
Les internautes n'ont pas mis longtemps à effectuer des comparaisons avec un précédent accident de Ferrari à Pékin, qui s'était transformé en une affaire très gênante pour le Parti communiste: elle avait impliqué le fils de Ling Jihua, un proche du président de l'époque, Hu Jintao. Le 18 mars 2012 à l'aube, cet homme âgé d'une vingtaine d'années avait trouvé la mort dans sa sportive de luxe. A ses côtés se trouvaient deux jeunes femmes, grièvement blessées dans la collision. L'une était nue, l'autre à demi dévêtue.
Les autorités ont tout fait pour tenter d'étouffer ce scandale, allant jusqu'à censurer sur Internet le mot «Ferrari». Malgré ce black-out, les internautes avaient été nombreux à se demander comment le fils d'un haut cadre du Parti avait pu s'offrir une voiture à plus de 600.000 euros. Le scandale avait valu à Ling Hua une disgrâce et il avait été écarté du pouvoir au gré d'un remaniement quelques semaines plus tard.
La vaste majorité de la population chinoise est convaincue que la nomenklatura communiste du régime bénéficie d'une vie dorée et de nombreux privilèges, dans un climat d'impunité, malgré l'opération anticorruption menée par le numéro un, Xi Jinping. Ce nouvel accident ne pouvait que faire renaître la suspicion. «Minuit? Ferrari? Trois passagers dans la voiture? Mêmes circonstances que pour l'accident du pont Baofusi», a ainsi commenté un internaute sur Sina Weibo, le Twitter chinois.

VIDÉO - Une richissime cliente filmée en train de jeter son argent au visage d'une vendeuse a provoqué un véritable scandale en Chine. L'arrogance des enfants-rois, ces riches de seconde génération, est pointée du doigt.
La vidéo tourne en boucle sur les réseaux sociaux chinois. Depuis une semaine, elle s'est répandue comme une traînée de poudre et n'en finit pas de susciter l'indignation des internautes. La scène se passe dans une bijouterie de la province du Hebei, dans l'est de la Chine. On y voit une cliente enragée jeter plusieurs liasses de billets au visage d'une vendeuse. Stoïque, mais visiblement outrée, cette dernière se laisse humilier sans réagir.
«Vous pensez que je n'ai pas les moyens d'acheter ça?», crie la cliente en sortant plusieurs coupures de 100 yuans (environ 14 euros) de son sac. À deux reprises, elle s'acharne sur le visage de la vendeuse. Il y en aurait pour environ 1400 euros. Soit l'équivalent de plusieurs mois de salaire moyen en Chine. L'humiliation n'est pas seulement physique, elle est aussi verbale. «Croyez-le ou pas, hurle la cliente alors qu'elle frappe le présentoir, je pourrais acheter la rue entière». Les billets volent toujours. «Vous savez qui est mon père?», finit-elle par asséner. Il faudra l'intervention d'une autre cliente pour calmer la jeune femme.
Les frasques de la jeunesse dorée chinoiseFilmée, la scène s'est vite retrouvée sur Internet. Les commentaires virulents ont alors fusé sur Weibo, le Twitter chinois, fustigeant l'attitude de la richissime cliente. La raison du mécontentement? Selon certaines sources, la vendeuse aurait refusé de lui présenter plus d'un bijou à la fois. Il s'agit pourtant là d'une procédure habituelle dans une boutique de luxe.
Dans un pays où l'on observe les écarts de richesse les plus élevés au monde, cet incident n'est malheureusement pas isolé. En 2014, 82 millions de Chinois vivaient encore sous le seuil de pauvreté, selon les chiffres officiels. Dans le même temps, la Chine s'est hissée à la deuxième place derrière les États-Unis en nombre de millionnaires. Si cette vidéo suscite autant l'émotion, c'est qu'elle touche au cœur une population excédée par l'arrogance des élites, notamment celle des Fuerdai (富二代). Cette expression désigne les Chinois nés dans les années 1970-1980 de familles aisées dont le patrimoine excède le milliard de yuans. Autrement dit les riches de seconde génération.
«Ici aussi (en France, NDLR), certains clients chinois sont odieux avec nous. On doit encaisser»
Une vendeuse sinophone des Galeries Lafayette, à Paris
Les réseaux sociaux leur servent généralement de vitrine. En mai dernier, le fils du propriétaire du conglomérat Dalian Wanda Group publie sur Weibo une photo de son chien avec, attaché aux pattes, deux Apple watch version or d'une valeur de 18.000 euros pièce. Une façon d'étaler sa richesse quand d'autres préfèrent brûler des liasses de billets ou détruire une Ferrari. Avec, à chaque fois, une même levée de boucliers d'internautes révoltés.
Une cible attractive pour les maisons de luxeCes scandales à répétition illustrent les limites d'un modèle chinois qui pousse à afficher sa réussite de manière toujours plus ostentatoire. Mais le phénomène dépasse les frontières de l'Empire du milieu. Les Fuerdai sont une cible attractive pour les maisons de luxe aussi bien en Chine qu'à l'étranger. Ce n'est pas un hasard si la destination favorite des riches héritiers est la France. Ils sont nombreux parmi les hordes de Chinois qui, chaque jour, prennent d'assaut les grands magasins parisiens.
Comme nombre de ses collègues des Galeries Lafayette du boulevard Haussmann, à Paris, cette vendeuse sinophone d'une grande marque française de maroquinerie a visionné la vidéo du scandale. «Je ne suis pas étonnée. Ici aussi, certains clients chinois sont odieux avec nous. On doit encaisser, confie-t-elle au Figaro à demi-mots. Mais dans d'autres pays, comme à Taïwan et au Japon, c'est encore pire. Il faut se mettre par terre à genoux devant le client pour s'excuser.» Une pratique humiliante que la jeune femme espère ne pas voir s'exporter dans l'Hexagone.