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L’Eglise est au bord d’un cout d’état homosexuel

Publié le 06/03/2013 à 09:53 par laparousiedejesus Tags : gualdo de levi ariel don
L’Eglise est au bord d’un cout d’état homosexuel

 

« L’Eglise est au bord d’un cout d’état homosexuel »


de Roberto Marchesinile 14-01-2013


Après la récente interviewe de Don Dariusz Oko et celle publiée par la Boussole Quotidienne de Gerard van den Aardweg, la Nouvelle Boussole Quotidienne continue son enquête sur le lobby gay à l'intérieur de l'Église avec cette conversation avec père Ariel S. Levi de Gualdo, prêtre romain qui dans l’année 2011 a publié pour l'éditeur Bonanno, le livre « Et Satan se fit Trine ». Relativisme, individualisme, désobéissance : analyse sur l'Église du troisième millénaire. La seconde est capital, car ce travail est entièrement dédié à la présence homosexuelle à l'intérieur de l'Église, et il ne sera pas inutile de se rappeler qu’à la veille de Noel, en parlant à la Curie Romaine, le Pape c’est longuement arrêté sur la grave menace pour l’église se représentée sur l'idéologie du « gender ».


Don Ariel, comment définir la présence du Lobby gay à l'intérieur de l'Église un « via crucis ». Pourquoi ?


Juste préciser « à l'intérieur de l'Église », parce que je n'ai jamais fait de batailles contre les gay en tant que tel. J'ai traité toujours avec le plus grand respect chaque personne avec des tendances homosexuelles qui m'ont approché. Certains m'ont demandé un soutien spirituel, d’autres se sont présentés à mon confessionnal, ils ne sont jamais sortis sans absolution. Ma tâche est d’administrer la grâce et je donne le pardon de Dieu. Beaucoup de raisons et de conditionnements psychologiques pour lesquels les jeunes du XXI siècle peuvent être poussés à un style de la vie que je n'aime pas définir « pervers» ou « dérangé ». Je préfère la plus paternelle expression de « style de vie non chrétienne », et Jésus qui a averti :


« Les publicains et les prostituées passeront avant vous dans le Royaume de Dieu » (Mt. 21, 32). Pour ceci j'écris :


« Les gay sont compatibles avec le Paradis, peut-être plus que d'autres pécheurs tolérés, souvent avec grande diplomatie même avec la meilleur morale catholique. Ils ne sont pas, cependant, au sein de la prêtrise, à l'intérieur d'un monde au masculin composé d'hommes auxquels il est demandé un équilibre sexuel accessible, mais pas facile à rejoindre et maintenir » (Et Satan de fit Trine, p. 221). Lorsque je fus consacré prêtre l'évêque m'exhorta : « Sois toujours le même ». Dans quelle mesure on peut dire un prêtre gay : « Sois toujours le même » ?


Où peut-on établir le ministère sacerdotal sur la fiction de la double vie ? Par conséquent, plutôt que marcher comme les disciples d'Emmaüs (Lc. 24, 13-35), les prêtres gays se trouveront en transit sur une Via Crucis, et finalement ne seront pas guidés vers la pierre roulée de la tombe vide du Christ. Ce n’est pas parce qu’ils sont des personnes avec des tendances homosexuelles auxquelles je pardonne, et gracie  donne le salut, ils ne sont pas prévenus, mais parce qu'ils ne peuvent pas être libre et heureux même. Voilà, alors que le prêtre gay, contrairement au laïque, risque de se voir exclu du pardon, la grâce et le salut de son âme.


Pourquoi avoir décidé de dénoncer en public ce phénomène ? Quels objectifs cela pose-t-il ? N'aurait-il pas été mieux un pieux silence ?


Parce que mon divin « patron », le Verbe Incarné, pour mieux annoncer la vérité assuma notre nature humaine. Donc la vérité divine, en Jésus et par Jésus, prend forme dans un corps, a une face, une gestuelle devant les foules. La phrase : « Le Verbe se fait chair et vint à habiter au milieu de nous » (Jn. 1, 14) équivaut à dire que la Vérité divine est visible, palpable. Cette question contrète dans les Évangiles nous indique le style de comportement et d'action, par exemple : « Qui scandalisera un seul de ces petits qu'ils croient en moi, il eu valu mieux pour lui qu'il se mette au cou une meule et soit jeté dans la mer » (Lc. 9, 38-47). Pour celui qui dans la première partie du livre j'éclaircis qu'est-ce qu’est la charité et combien elle est inconcevable sans la vérité et la justice. Par conséquent, ne pas exercer à l'occurrence la charité avec fermeté, qui veut dire même rétablir la doctrine et l'autorité de l'Église, porte une idée corrompue de charité, en la changeant de façon parodique, après l'avoir vidé de son vrai sens.


L'objectif qui comme homme et prêtre je me pose, est d'être serviteur participant à la vérité du Verbe Incarné. Les paroles dures de Jésus contre la corruption du pouvoir et sa décadence, au sein du clergé juif de l'époque, l'ont amené à la croix, et ainsi à la gloire de la résurrection, parce que Jésus, le Verbe, « était Dieu » (Jn. 1.1).


Aujourd'hui en voyant la corruption du pouvoir décadent du clergé catholique, Jésus emploierait les mêmes mots :


« Race de vipères (Lc. 3.7) tombes blanchies » (Mt. 23, 27). S'il entrait dans cette succursale de Sodome et de Gomorrhe à laquelle certains ont réduit le Vatican, au point de faire dire au Souverain Pontife :


« Priées pour que je ne fuie pas, par peur, devant les loups » (Homélie de 24.04.2005), peut-être combien de fois il prodiguerait les marchands modernes du temple au fouet (Mc. 11, 15-19). En hurlant, sur les mots du Prophète Jérémie : « Vous avez fait de ma maison une grotte de voleurs » (7.11). Peut-être il dirait : « Une grotte de voleurs et un lupanar de gay enivrés des fumées aromatiques des encens, entre les dentelles et les dentelles des enluminures baroques ». Et de nouveau il connaîtrait le Sanhedrin et la croix. Et peut-être combien d'évêques, prêtres et théologiens l'accuseraient d'orgueil, en lui enlevant crédit et affirmant qu'il n'a pas le droit de  parler : « N'est pas le fils du charpentier ? Sa mère ne s'appelle pas Marie ? » (Mt. 13, 55).


Quels sont les buts de ce lobby ? Quels mécanismes utilise-t-il ?


La destruction interne de l'Église, est évidente ! Il y a quelques années, je fis la formation pour le ministère d'exorciste, que mon évêque me confia, bien que je l'ait exercé deux fois seulement. Devant des cas de présumées des possessions je suis très sceptique, la presque totalité sont des cas psychiatrique à adresse des spécialistes cliniciens. J'ai eu cependant à me trouver devant un cas authentique et crois à avoir perçu – je ne dis pas, seulement perçu – combien le Mystère du Mal est intelligence à l'état pur qu’aucun de nous peut combattre avec ses forces. Et avec paix, un exorciste à la télévision, affirma : « Non, je n'ai pas peur du Démon, c’est lui qui doit avoir peur de moi ! ».


Maintenant je dis : le Démon a osé tenter même Dieu incarné (Mt. 4, 1-11. Mc. 1.12-13. Lc. 4, 1-13), le voyez-vous à avoir peur d'un doux exorciste âgé de quatre-vingt-dix ans ? Pour réaliser ses buts, Satan use avec subtilité en semant la confusion et en créant des structures d'inversion, le bien devient mal, le mal bien, la vertu le vice et le vice la vertu, la saine doctrine devient hérésie et l'hérésie la saine doctrine. De là on a vu se développé les métastases qui ont infecté le corps ecclésial, en engendrant un manque de gouvernance avec une Eglise affaiblie par un relativisme théologique gnostique, d'un individualisme exaspéré et de la désobéissance à l'autorité du Souverain Pontife et des Évêques. Ce mécanisme d'inversion vise à substituer Dieu avec le moi, il suffit d'entendre certains prêtres théologiens en veste et cravate après le Concile Vatican II, ont créé leur propre concile égocentrique, et dans les bureaux des universités pontificales, ils enseignent une pensée discutable du magistère. Les mots les plus récurrents ne sont-ils pas : « Comme je soutiens… comme j'ai écrit… comme j'ai dicté à ce cardinal, il m'a donné raison… ».


Pourquoi en second lieu la présence d'hommes avec des tendances homosexuelles sont aussi massive à l'intérieur de la Curie ? La prêtrise attire ces hommes, ou bien la formation dans les séminaires contribue à la naissance de ces tendances ? D'où naît-il cette apparente compatibilité parmi la vie consacrée et une personnalité homosexuelle ?


Dans mon livre je parle des homosexuels dans l'Église qui naît avec de complexes problèmes historiques et sociaux. J'ai 49 ans et, si je repense aux prêtres de mon enfance, devant moi j'ai seulement des images d’hommes. Parfois il y eut des problèmes liés à des affaires de femmes, jusqu'à abandonner la prêtrise. A cette époque cependant, il y avait un clergé plus sain. A cette époque, la société, affichait une certaine gaieté. Pour traiter ceci il faut être honnête :


« Après avoir dit en long et en large que le sexe était le péché des péchés, aujourd'hui nous subissons le coup de recul en acte et en omissions, nous prêtres, pourrions apparaître moins indiqués à parler de morale sexuel et bioéthique, évalués par une partie d'ecclésiastiques affectés de désordres sexuels, causés avec leur inhérente incompatibilité à la prêtrise et l'épiscopat ; et de l'autre les violations de la dignité humaine qui se multiplient même dans l'Église » (Et Satan ce fit Trine, p. 178).


Nous avons créé des conseils pontificaux pour la justice et la paix, pour la famille, la santé et la bioéthique, mais il semble que le loup se soit travesti sans perdre le vice. Ou pour dire  concrètement :



lorsque je dénonçais au Vicariat de Rome, avec des preuves et des témoins, un curé avec l'argent de l'Église maintenait un marchandage (op.cit., p. 185), je fus éloigné de cette basilique, et me fut enlevé le celebret du Diocèse de Rome, l'évêque de laquelle déplora en 2010 aux catholiques d'Irlande « une tendance dans la société à favoriser le clergé et autres figures importante, et une préoccupation déplacés de l'Église, à éviter les scandales, ont porté préjudice les peines canoniques en vigueur et de la dignité de chaque personne ».


Devant ces dénonciations que je présentai aux divers ministères du Saint-Siège, incluse le Secrétariat d'État – toujours appuyé par mon évêque qui jugea inouï, tel mépris autocratique de l'Église – j’ai reçu un fin de non recevoir. Quand, j'entends parles de mécanismes d'inversion : la justice devient injustice et l'injustice devient justice…


La vérité est que dès fin des années Soixante, on est cassé par le rigide équilibre basé sur des répression sexuelle, à partir de la formation des séminaires. En trente ans, on a attaqué la doctrine et mis et discuter le dépôt de la foi ; tout est devenu relatif ou sujet à des expériences excentriques, à penser à une liturgie que certains appellent la théologie anthropologique. Enfin c’est joint aux homosexuels de l'Église, l'homosexualité au pouvoir.


Il faut repenser combien les séminaires obtiennent l'effet de rendre les futurs prêtres intelligents que chrétiens dans l'âme. Souvent dans les séminaires ils manquent des éducateurs, afin de recevoir une saine et solide éducation. Pour ceci je me suis retrouvé plusieurs fois à ramasser des jeunes en morceaux, parfois en crises de foi qui, « coupables » d'être hétérosexuels, ont été expulsés du séminaire par les formateurs plus ou moins gays qui protégeaient des séminaristes manifestement gay. Pour ne pas parler de certains ordres historiques, pendant des siècles ont regardé le « pauvre » clergé séculaire et roturier » avec un air suffisant.


Aujourd'hui, entrer dans les noviciats dont certaines abbayes  sont millénaires ou dans quelque université monastique, il y a craindre de prendre des maladies vénériennes seulement en respirant l'air, vu que pour ne pas fermer boutique certains des religieux au commande, se sont réduits à prendre ce que nous renvoyons hors des séminaires, pour des raisons morales très graves. Cette apparente compatibilité parmi la vie consacrée et une personnalité homosexuelle, naît de ces déséquilibres qui ont engendré un vrai coup d’état homosexuel. Ou pour dire crument : « Quelques séminaristes dans les ans Soixante-dix et Quatre-vingt guidaient à l'intérieur des séminaires, la pieuse fraternité, aujourd'hui se sont des évêques, qui se sont entourés de personnes semblables, et se sont placé dans des postes clé des diocèses, séminaires inclus, progressant et se reproduisant entre eux » (op.cit., p. 216) « vidant la foi et l'Église  rempli de l'homosexualité» (p. 195).


Quels remèdes propose pour résoudre ce problème ?


L'autorité apostolique. Ce mot effraye, « autorité », parce que beaucoup de théologiens égocentriques veulent « plus de collégialité » et « plus de démocratie », la confondent avec l'autoritarisme et l'arbitre autocratique ; vraiment cet autoritarisme est exercé avec agressivité chez les ultra progressistes ou certaines associations laïcs sectaires qui ne penserait pas comme elles. « L'Église est la légitime dépositaire d'un pouvoir coercitif que Dieu a confiées et en occurrence doit être employer, pour éviter une forme d'anarchie à l’intérieur de l’église. Ce pouvoir coercitif n’est pas un État inquisiteur mais seulement à affirmer la vérité contre l'erreur et l'insolente rébellion des hommes aveuglés par l'individualisme » (op.cit., p. 80).


Le Saint-Siège a produit des documents variés, ainsi que des exhortations à cette intention, mais de jour en jour nous sommes face à une vraie épidémie, devant à laquelle n'existe pas d’autre solution comme il est indiqué dans l'Évangile :


«Que si ton œil droit est pour toi une occasion de péché, arrache-le et jette-le loin de toi: car mieux vaut pour toi que périsse un seul de tes membres et que tout ton corps ne soit pas jeté dans la géhenne. Et si ta main droite est pour toi une occasion de péché, coupes-la et jette-la loin de toi: car mieux vaut pour toi que périsse un seul de tes membres et que tout ton corps ne s'en aille pas dans la géhenne.» (Mt. 5, 29-30). Nous continuons par contre à mettre dans l'œil un collyre de camomille, en nous consolant avec l'idée que l'Église « a dépassé des moments plus grave ». Qu'est-ce que qui nous trompe au début de l'Église ? Elle fût attaquée par des forces extérieures comptant sur des traîtres intérieurs. Aujourd'hui en revanche, elle est attaquée non seulement de extérieur, mais à  l’intérieur, un mal la dévore, avec le risque de se changer par une structure qui produit le péché. A quelles époques, il est arrivé quelque une chose semblable ? Même pas au temps de Jean XII, un jeune homme élu Pontife Romain en 955 à 18 ans et mort en circonstances pas vraiment édifiantes à 26 ans.


Quelles ont-elles été les réactions à votre dénonciation ? Comment ont réagi vos confrères ?


Dans une totale indifférence, pour que cela ne s’étende parmi les membres de Peuple de Dieu. Sur le plan privé, des différents prélats m'ont convoqué, et à l’unanimité et affirmant que j'avais rendu un beau service à la vérité. Quelqu'un est-il arrivé à employer des expressions aussi flatteuses pour m'embarrasser, peut-être que c’est le Diable qui tente de me piquer dans la vanité vêtu toujours en Rouge Prada ?


Dans le concret cependant, ont-ils fait pour favoriser la diffusion d'une œuvre définie comme « service à l'Église » ? Rien. En sachant que je vis sous les coups des tireurs homosexuels de la puissante mafia clérical gay, qu'est-ce qu’ont fait pour les désarmer, ou pour me protéger ? Rien.


Être réduit à être de la viande d’abattoir, pour nous prêtres, fait partie des risques du métier, est s’écrit dans le caractère indélébile de la prêtrise que nous avons reçu, appelés à devenir une seule chose avec l'Agneau Immolé, Christ Sauveur. Au fond, en connaissant un peu la vraie essence de la théologie, en vingt siècles de vie dans l'entière histoire de l'Église, existe une seule décision prise collégialement et à l'unanimité, sans désaccord, sans vote contraire :


« Alors tous les disciples l'abandonnèrent et fuirent » (Cf. Mt. 26, 54. Mc. 14, 50).


En tout cas je ne serai jamais seul. Christ est toujours avec moi, au contraire : on me confie entre mes mains, à devenir corps et sang vivant, présence visible dans son Église et nourriture pour le Peuple de Dieu. Comment ne pas être heureux dans la vie présente et future, la place à être prêtre de Jésus Christ maintenant et dans l’éternité.


Je remercie votre quotidien en ligne, pour le service informatif qui en faisant ceci, passe à travers la loi du silence qui enveloppent ce drame épidémique : Christ vous en rendra mérite et peu à peu, l'Église, en tirera des grands bénéfices, après beaucoup de grandes souffrances.


- Les ennemis de l’intérieur de R. Cascioli


Ariel Stefano Levi de Gualdo(19.08.1963) élève du théologien jésuite Peter Gumpel est consacré prêtre à Rome où actuellement il vit. Il exerce le ministère de confesseur, prédicateur et de directeur spirituel. Il est auteur de divers ouvrages publiés avec les Éditions Bonanno prés il dirige le collier théologique Fides Quaerens Intelletcum. Parmi ses principales œuvres : Herbes Amères, le siècle du sionisme (Bonanno, 2007), Nada te Turbe (A&B 2009), Et Satan se fit Trine. Relativisme, individualisme, désobéissance : analyse sur l'Église du troisième millénaire (Bonanno, 2011). D’autres ouvrages sont au programme de publication pour l’année 2013 et 2014.

 

Cet article, est issus d'une interview en Italien, traduit par le site :

 

http://www.systranet.com/translate/ corrigé par mes propres soins.


Il montre bien, l'état de délabrement voulu par la Haute Vente, les Carbonari, l'O.T.O., la Sainte Vêhme etc…

Ce prêtre Romain est d'origine Juive dela tribu de Levi. Je n'ai jamais vu un homme aussi courageux qu elui. Il faut que se soit les Juifs illuminés par la Lumière du Christ pour dénoncer l'horreur de ce "cloaque d'Impureté".

Si je ne dis rien en ce moment sur le Vatican, cela ne sert à rien. Je ne veux surtout pas mettre la main sur Dieu.

La seule choses que je peux dire : est que, Celui qui est "le Scandale de l'Eglise, est mielleux à souhait, face à certain(s) "papabile".